EFFET d'ENSEMBLE

Pour vous la main ne peut pas agir sans bouger ?

Stop

discussion stérile.

Merci.

Kick Ass, lorsque vous parlez de ceux qui recherchent la légèreté en mouvement "comme cela peut se pratiquer dans l'enseignement d'aujourd'hui", parlez vous toujours de la légèreté telle que Beudant la définit? 

Ce que je veux dire avec l'équitation d'aujourd'hui, sous entendus celle pratiquée dans les clubs, c'est qu'ils cherchent à décontracter le cheval en lui faisant faire des mouvements/exercices du style volte, EED, bas et rond, bidouillage avec les rênes...
Alors que dans l'équitation de Beudant qui je le rappelle est de même obédience que celle de Kerbrech, il cherche plutôt à avoir la décontraction à l'arrêt avant de demander un mouvement du même style que je viens de citer plus haut.

Un exemple :
Je veux faire exécuter à mon cheval une EED au pas ; voici comment on doit procéder :
- je demande la légèreté à l'arrêt (flexion de machoire, flexion de nuque, les rênes se détendent)
- pression des mollets pour demander la marche en avant (on doit veiller à ce que le cheval concerve les flexions de machoire pendant ses déplacements)
- déplacement des épaules vers l'intérieur
- jambe intérieure pour engager le postérieur interne sous la masse

Si mon cheval sort de la piste en refusant de s'incurver, c'est parce qu'il se contracte en résistant et désobéi par conséquent à la main, à la jambe intérieure ou les deux.
Ce que l'on peut observer alors, comme étant le premier signe de contraction est une bouche cripée, la suite devient logique...

Deux solutions :
- soit vous insistez en renforçant l'action de vos aides (jambes qui talonnent et mains qui tirent) ce qui est l'équitation de club (où est la décontraction ?),
- ou soit vous l'arrêtez, vous redemander la légereté puis la mise en avant en veillant soigneusement à ce que le cheval concerve les flexions de machoire tout le temps qu'il est en mouvement, du coup le cheval sera au préalable décontracté, il concervera sa décontraction si vous avez du tact et il sera alors en bonne disposition pour exécuter sereinement cette EED.
Par la suite, une fois que votre cheval vous donne parfaitement la légéreté de pieds ferme et qu'il comprend donc parfaitement les demandes de flexions, vous pourrez rétablir la légèreté en mouvement par des vibrations sur les rênes.
Mais pour demander la légèreté en mouvement et donc obtenir la décontraction dans le mouvement, il faut obsolument en passer par un travail à pieds qui permet de poser les bases du langage.

@ Hervé> pour le reculer, vous avez raison !

Je vous rassure M. Mulot, pas de télépathie entre le cavalier et son cheval, juste un langage logique que celui-ci comprend !
Dans cet apprentissage, le cheval est monté au poids des rênes, sans contact constant, ce qui presente aussi l'avantage des descentes d'aides quasi permanentes.
A l'arrêt, si la pression des doigts sur des rênes détendues perdure, le cheval reculera sans qu'on est à tirer puisque la main reste fixe, sans bouger.
L'apprentissage du reculer comme les déplacements des épaules et des hanches se font à pieds, le langage est clair, logique et le cheval comprend parfaitement bien.
Je peux vous assurer que je monte au poids des rênes sur des rênes détendues et que lorsque celles-ci commencent à se tendre, mon cheval n'attends pas d'avoir le mors incrusté dans la commissure des lèvres pour reculer !
Il comprend parfaitement ce que je lui demande et s'exécute sans aucune contraction ni résistance.

Vous lancez un sujet que vous ne connaissez absolument pas, à par peut être dans les bouquins et encore apparement vous n'avez rien compris !
De plus, vous refuser de concidérer/analyser les réponses qui vous sont faites, c'est quoi votre problème ?
Si vous êtes si sur de détenir la vérité pourquoi lancer ce sujet, pour qu'on vous dises que cette équitation c'est de la merde ?
Très bien, c'est vous que cela regarde !
Moi, je sais, pas vous !
Et je sais, pas parce que le l'ai lu dans des bouquins mais bien parce que je l'ai vu faire, on me l'a expliqué et je l'ai mis en place sur mon cheval.
Je peux donc juger du résultat au quotidien.
A l'inverse de vous, je dirais que moi j'ai l'avantage de savoir de quoi je parle pour l'expérimenter tout les jours et vous, quelle est votre expérience dans le domaine ?

Je vois que vous ne lisez pas mes posts ou mes réponses sur certains posts.

L'étalage de votre savoir et de vos capacités équestres montre votre écrasante fierté et mépris par rapport aux autres équitants.

Encore une chose, ceux qui montent en légèrété à l'obstacle ( CSO ) font ce que vous dites mais cela à 350/400 metres minutes avec une masse de 700 kgs en mouvemant dans un parcours sinueux au possible et avec des obstacles à franchir.
Vous vous le faite à ....pieds.

Merci de m'avoir réexpliquer le recul du cheval léger.

Bien cordialement

Bonjour Serge,
Vous nous dites que reculer avec la main sans les jambes est ne pas savoir reculer.  L'expression est forte qui range des cavaliers et des écuyers (!) dans les rangs de l'incompétence.
 
On s'attendrait à une explication simple et convaincante du caractère nefaste de cette pratique. Votre explication est que cela implique de tirer. Et à la question comment une main qui ne bouge pas peut-elle tirer vous arrêtez la discussion...

Aucune fierté dans mes propos, là, vous vous méprenez !
Je parle juste d'une expérience par rapport à un sujet lancé et en aucun cas je cherche à convertir qui que ce soit.
Vous posez des questions, je réponds parce que je sais, maintenant à part moi, dites moi, qui a répondu à votre question de départ ?
Si vous considérez que les personnes qui maitrise un sujet, dont vous ignorez tout, sont fiers d'exposer leurs réponses, alors les forums sont remplis de gens fiers.
C'est vous qui avez un problème, pas moi !

Encore une chose, ceux qui montent en légèrété à l'obstacle ( CSO ) font ce que vous dites mais cela à 350/400 metres minutes avec une masse de 700 kgs en mouvemant dans un parcours sinueux au possible et avec des obstacles à franchir.
Vous vous le faite à ....pieds.

Votre phrase me prouve que soit vous ne savez pas lire, soit que vous n'avez définitivement rien compris !
Pour une meilleure compréhension du cheval, on prépare à pieds, oui !
Mais pour le reste, c'est évident que cela se passe à... cheval.

Cordialement

Bonjour Hervé,

Je n'arrête pas la discussion,  Juliette a répondu = " par les jambes "".

Vous dites que je ne l'explique pas, alors voilà :

Postula cher à ""kick ass (!!!) "":

on est à l'arrêt.
le cheval est en équilibre
se porte seul
dérriere la main
avec un placé d'encolure assez relevé ( nuque cédée ou pas )
rênes en guirlandes.
mains fixes
leger
à l'écoute, donc en impulsion.

bien !

le cavalier veut reculé ?

sans bouger les mains
demande impulsive des jambes
le cheval va se porter en avant mais les mains n'ayant pas ouvert, le cheval habitué a cette demande légère va reculer.

c'est tout

tout cheval habitué et éduqué à cette demande ne se trompe jamais !

Faites le, vous serez étonné du résultat.

Monsieur Mulot,

Personne n'a dit qu'il ne fallait pas reculer avec les jambes !
C'est au départ un choix de langage, et vous choisissez bien celui que vous voulez.
Je dis juste que j'ai préféré choisir celui de Pluvinel, La Guérinière et Beudant pour les plus connus, je vous joins d'ailleurs des extraits de leur livre pour arguenter mon choix.
Je trouve plus logique pour le cheval de demander un reculer par les mains seules plutôt que des mettre des jambes qui sont censées le faire avancer pour ensuite lui dire par opposition des mains, que non, finalement recule...
Vous utiliser deux aides (mains et jambes ; demande plus complexe dans la tête du cheval) alors que mes prédécesseurs et moi avons choisi d'en utiliser qu'une, les mains.
Je le répète, pas de guerre de chapelle, c'est encore une fois juste un choix de langage...

Cela ne nous dit pas pourquoi ne pas agir comme cela est ne pas savoir reculer. La nuance est de taille. Lorsqu'on dit que des cavaliers ne savent même pas reculer, il faut un peu plus que faites le vous serez étonné du résultat.

Et non je n'ai pas été étonné du résultat, au contraire. Les chevaux qui apprennent à reculer de cette façon avant que la réponse aux jambes soit bien consolidée ont des difficultés à comprendre que la jambe interrompt le reculer. Alors que s'ils apprennent à reculer sans les jambes, et que celles-ci signifient toujours en avant, le reculer est un outil qui peut être utilisé plus tôt dans l'éducation.