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Rencontre pédagogique

141 réponses [Dernière contribution]
FARNAULT Philippe
Déconnecté
Inscrit: 25/07/2006

 Bonjour,

s'il y en  qui se sentent l'âme d'un modérateur, qu'ils se fassent connaître !"
Nicole, je veux bien prendre cette fonction à l'essai durant 6 mois,  avec tout plein de boutons , joystick, un siège éjectable ou 2, une burette d'huile, etc. 

Je vais me régaler.  Bien sûr, si quelqu'un s'y opposait...   Est-ce quelqu'un veut m'accompagner ? Masculin/féminin, la parité quoi... Philippe.

(je suis cependant d'accord avec les prises de position en faveur de Isa -ici hors sujet-... Mais la modération étant, elles seraient soit supprimées, soit déplacées. Les interventions, dont l'intention n'échappe à personne, de Catherine n'ont pas lieu d'être non plus, -ni ce qui est orienté contre elle-).

Amicalement.


Jean-Philippe
Déconnecté
Inscrit: 26/09/2008
  Sur un autre post, Monsieur JP; ne polluons pas celui ci...Que veut dire je transitionne inférieurement?
 

Non, sur celui-ci ! C'était juste une manière de te dire que j'avais commencé ton livre, livre que je t'ai acheté lors de la rencontre du 18 mai ! Donc, tu vois, on est quand-même dans le sujet !

Et puis, je longe avec les éperons ! Mais là, j'ai complètement tord et il ne faut pas le faire comme tu l'écris si bien ! 

Et puis, trop de sérieux tue le sérieux ! A méditer ! Je parle du forum, bien entendu ! PAs du livre de Yves...

 

Cat Poder
Déconnecté
Inscrit: 28/04/2012

Philippe, vous allez me succéder au poste de modérateur et je vous en félicite!
Je m'en remets à votre sagesse. J'ai effacé mes messages sur ce post dés 13h.

Le "rapport" de Manou étant toujours visible, j'en ai fait une copie qui amusera beaucoup mes amis cavaliers et nos partenaires professionnels équins !!!

Je renouvelle mon invitation à venir nous rendre visite à ceux qui le souhaitent, même et surtout à Jean Philippe qui m'a promis sa venue depuis 4/5 ans?!...Mais je ne prêterai plus mes installations ni mes chevaux...

...

Je supprimerai ce message demain.

Jean-Philippe
Déconnecté
Inscrit: 26/09/2008
 même et surtout à Jean Philippe qui m'a promis sa venue depuis 4/5 ans?!
 

Si 1000 km ne nous séparait pas, cela serait déjà fait depuis longtemps... Mais pourquoi pas un jour en passant par Dax ! Mais c'est vrai qu'on y va pas souvent !

 

MAUREL Bernard
Déconnecté
Inscrit: 17/03/2006

Les disponibilités du président ne sont pas à plein temps ...
Grand Merci aux intervenants qui ont aidé à remettre un peu d'ordre sur ce "post" .
Le compte rendu de la ( passionnante ) rencontre pédagogique de Donnemaire paraitra en son temps ...  

Danne Isa
Déconnecté
Inscrit: 17/03/2006

Puisqu'il n'y a pas encore de compte rendu prêt, voici aussi d'autre choses qui ont été proposé lors de cette rencontre:

Je voulais signaler le travail de Annette Rancurel, au sujet des pressions de selles.... elle c'est rendu disponible pour les personnes interessées, pas assez nombreuses à mon goût connaissant la qualité de son travail et son investissement !

Il y a eu, également, un très joli reportage, en primeur sur, Mr Henriquet, apporté par Jean-Philippe Léon !!

J'ai fais un petit topo avec vidéos sur le travail en balancier global.

Isa Danne

Vous me trouverez sur
Facebook: " isa danne équitation classique "
Google: http://isadanne.wordpress.com/

BERTRAND Jean-Michel
Déconnecté
Inscrit: 17/03/2006
Bonsoir à tous,
Les fâcheux évènements qui viennent de se produire sur ce post, n’ont pu qu’aiguiser la curiosité de ceux qui n’ont pas eu la chance de pouvoir assister à la journée pédagogique. Cela est tout à fait compréhensible.
Je pense qu’il est dangereux de laisser galoper les imaginations…
Aussi, je vais essayer de faire un compte-rendu non pas objectif, étant partie prenante, mais le plus honnête possible par rapport à mon ressenti personnel tout au long de cette journée. Je souhaite que d’autre personne face de même avec leur sensibilité sur leur vécu de ce moment.
               La journée commença par accueil autour d’un petit déjeuner offert par l’association. Cela permis de se (faire) présenter et des débuts de conversations s’instaurèrent. Puis le travail proprement dit commença. En passant dans le manège, nous découvrîmes Ph. Boiret entrain de détendre sa jument hanovrienne, avec laquelle nous dit-il, il sort en compétition, St Georges et Intermédiaire. Première impression, Philippe a fait un effort vestimentaire et se présente à nous en veste et cravate. Pour moi cela sent la « vieille école » et ça me plait. Il y a là un sens de la tradition, un respect des autres, une envie de faire honneur à son cheval bref une discipline toute équestre. Le couple se met en route et les explications de Philippe sont relayées ou complétées par son épouse, auditrice attentive. Visiblement, il est venu avec un problème qu’il lui tarde de nous soumettre : sa jument ouvre la bouche. Il ne me semble pas que la main de Philippe soit en cause, impression que ne tarde pas à confirmer la majorité des intervenants. Du coup, la jument est scannée de la tête à la queue. Un point est sûr, elle exprime ainsi une difficulté mais personne n’arrive à trouver d’explication convaincante quant à la raison. Juste au moment où j’allais le proposer, B. Maurel tente un essai de bauchérisation. Je ne pense pas que l’on puisse en faire une solution mais au moins cela permettrais d’interroger le cheval plus en profondeur et peut-être trouver un début de compréhension. Et moi, le disciple de Versailles, je trouve que Bernard ne va pas assez loin à mon goût, mais je le comprends car il s’agit d’un travail complexe, qui nécessite une connaissance et une maîtrise que peu de gens possèdent encore mis à part P. Franchet d’Esperey. La séance se termine sur un léger sentiment de frustration. Nous n’avons pas réussi à trouver d’indices satisfaisant et donc pas de solution. Je sens que Philippe repart un peu déçu. Il y a visiblement déjà un moment qu’il cherche et ce n’est pas encore aujourd’hui qu’il aura pu trouver, malgré l’aéropage de connaissances et d’expériences réunies. Le Cheval, cet inconnu…
               Arrivent Josette et son cheval de Grand-Prix. Josette nous raconte avec à sa façon, c’est à dire avec une franchise positive et rafraichissante, leur parcours. On comprend tout de suite qu’il s’agit plus d’une affaire de communication et de cœur que de technique, même si bien sûr, il en faut, pour arriver au niveau où ils sont tous les deux. D’ailleurs, cela se voit très rapidement. Josette choisi de faire la détente par des changements de pieds. « Il en besoin aujourd’hui, nous dit-elle, je le sens » » franchement que dire de plus ? Surtout que Josette nous a expliqué qu’elle n’avait que très peu monté son cheval ces derniers temps car elle prépare la relève… Alors bien sûr le travail présenté n’est pas parfait, la cavalière fait des fautes de mains, le cheval pourrait rentrer plus dans le rassembler mais leur entente est tellement parfaite… Et finalement n’est-ce pas là, la véritable finalité de l’équitation ? En tant que professionnel, j’aurais envie de leur servir de miroir, pas de leur dire ce qu’il faut faire, ils n’ont pas besoin, juste leur dire ce que je vois de l’extérieur quand ils sont dans leur bulle de centaurisation. Ce cadre de miroir pourrait être plus large que celui de la compétition… Il me semble que leur quête va dans ce sens. Peut-être que je me trompe complètement. Mais au moins, merci à tous les deux car ils m’auront permis de rêver un instant et je suis sûr de ne pas avoir été le seul…
               Me voici à un moment, plus délicat car il s’agit pour moi de parler maintenant de mes élèves, chevaux et cavalières. Nous nous sommes mis d’accord avec Bernard et Yves, pour présenter les 2 chevaux en même temps et sur les mêmes exercices. L’idée est la suivante : nous avons un Lusitanien et un Holsteiner, deux chevaux trop souvent mis en opposition, l’ibérique et l’allemand, donc nous allons les mettre en comparaison de fonctionnement, sachant qu’ils ont reçu les même bases de travail. Pour cela, j’ai choisi un exercice qu’ils pratiquent tous les deux assez régulièrement dans leur travail quotidien : le carré de la Guérinière. Les choses ne se présentent pas tout à fait comme prévu. Très vite, on se rend compte que les chevaux sont plus fatigués que nous ne pensions. Il faut dire qu’ils viennent de faire 5h30 de route hier soir et en plus ils ne se connaissaient pas 24h auparavant… Les cavalières connaissent bien leur monture et temporisent. A défaut de démonstration technique, j’essaie toujours d’inculquer à mes élèves le sens du travail propre. Puis-je dire que ça marche… Mes cavalières sont inquiètes car les retours sont faibles mais intéressants, en particulier sur le carré. Sur une improvisation de mes élèves, une sortie au botte à botte, au pas espagnol, le public sort un peu de sa réserve. Un petit débat s’instaure sur la selle d’une de mes cavalières et puis chacun rejoint la grande salle pour sortir son pique-nique.  
               L’après-midi reprend avec Pierre Giorgi et son cheval hanovrien. Il nous présente le parcours de celui-ci, dressé par Pierre pour une jeune cavalière. Intéressant car du coup, ce cheval, se rapproche du « cheval maître d’école.» Les deux se mettent en route. Pierre explique son travail en même temps qu’il le fait, bel exemple de maîtrise technique et pédagogique ! Je suis en terrain connu, je reconnais tout de suite la patte de l’Ecole, la technique telle qu’elle était enseignée à Saumur, dans les années 80. J’y allais  alors pour mon monitorat. Je souris intérieurement car je me souviens avoir critiqué à l’époque, de façon très virulente, cette façon de faire, jeune oliveiriste que j’étais ! (Puis-je dire que ce souvenir ma fait brusquement penser à quelqu’un ici présent : Isa).  Mais Pierre a visiblement su y apporter sa  touche personnelle et son travail m’intéresse, le dialogue avec le cheval est permanent. C’est vrai qu’ils se connaissent bien tous les deux et chacun respecte l’autre. Les choses se mettent en place selon un système bien établi et accepter. Cela peut tromper, car certains non avertis pourraient y voir une technique figée. Je sais que ce n’est pas le cas, ils sont trop à l’écoute des besoins l’un de l’autre, chez eux, c’est un fonctionnement dans l’instant avec pour Pierre une vision à long terme et des objectifs intermédiaires précis et maîtrisés. Cela se voit. Mais les remarques fusent, pas toujours aimables, heureusement Bernard et Yves recadrent les choses. Les mouvements techniques s’enchaînent, certains avec aisance, d’autres plus difficiles. Le cheval connaît son métier. Quand tout va bien, Pierre laisse faire où en profite pour pousser la difficulté. Quand le cheval peine, son cavalier, essaie de trouver une solution pour l’aider, souvent en l’amenant différemment, voir en reprenant en arrière un exercice gymnique. Bref le travail me plaît, même si je ne suis pas d’accord avec tout mais chacun doit faire avec sa sensibilité et le principal est que le cheval, lui soit d’accord et le travail juste, là c’est le cas.
               Pierre s’arrête. Yves et Bernard proposent l’échange de cavalier, Yves rappelant, les origines de cette rencontre. J’y vois là, une démarche dans l’ordre de la tradition et dont l’histoire équestre regorge, comme anecdotes. Les épreuves tournantes d’aujourd’hui en sont un reliquat. Ysa monte sur le cheval, après avoir longuement modifié les réglages de la bride. Je suis un peu loin et je regrette qu’elle n’explique pas ce qu’elle a fait. Tous les deux s’éloignent dans le fond du manège, je comprends qu’ils puissent avoir besoin de tranquillité pour faire connaissance. Mais cela se prolonge et visiblement, du moins vu de loin, c’est plus une mésentente qui s’installe ; J’aimerais bien qu’ils se rapprochent et qu’Isa nous explique ses actions, en particulier son travail sur des mains hautes avec des rênes longues (Baucher, d’Orgeix ?). Travail sur le reculer, le cheval se creuse et s’accule, Isa cède immédiatement, décidément ça ne passe pas. Cela me semble plus un problème de compréhension que de technique mais comme il n’y a pas de commentaires de la part de la cavalière, j’en reste aux suppositions. Je ne suis pas le seul et les commentaires vont bon train. Malheureusement le public fait comme Isa et chacun discute dans son coin. Cela n’est pas bon signe… Le couple au travail semble avoir trouvé un début d’apaisement mais il est clair que chacun des deux reste sur ses gardes et en fait, c’est surtout parce qu’il ne se passe plus grand-chose au niveau des exercices. Bernard sollicite Pierre pour reprendre le cheval et nous faire ses commentaires sur des changements éventuellement constatés. Isa s’arrête et nous fait un bref débriefing d’où il ressort que le cheval est contracté et quelle ne peut pas faire grand-chose en si peu de temps. Je reste sur ma faim… Pierre reprend le cheval quelques minutes puis dit n’avoir pas constaté de changements notables malgré la différence de technique. Je reste encore plus sur ma faim… La technique de Pierre, je connais. Celle d’Isa me laisse plus que perplexe, n’ayant pas eu tous les éléments. La seule solution, serait que je monte sur le cheval et lui demande son avis. Mais je ne suis pas partie prenante de la controverse…
               Enfin se présentent JP Tuloup et son  cheval, ancien pur-sang de courses réformé qu’il a mis comme cheval d’Ecole. Les élèves parisiens sont gâtés ! Jean-Pierre, nous fait part de son accident récent et l’on se demande comment il peut encore monter à cheval. Malgré cela les exercices s’enchaînent. Je confirme les élèves sont gâtés. Je ne sais trop que penser. Cette technique n’est évidemment pas la mienne. Il est clair que le cavalier ne dispose pas de tous ses moyens de fonctionnement habituel et le cheval doit compenser. Ils iront tous les deux au maximum de leurs capacités ce jour-là. A partir de ce moment-là, la critique, même positive, est-elle de mise ? Le seul mot qui me vient est respect devant l’un et l’autre. Et j’attendrai d’avoir l’expérience de M. JP Tuloup, si jamais je peux l’avoir un jour, pour émettre un jugement. Bernard demande à JP. si Isa peut prendre le cheval. Ce qu’elle fait. J’ai entendu parler dans le public de cheval d’Ecole et de cheval de manège. Je demande à JP. Tuloup qui me confirme qu’il s’agit bien d’un cheval d’Ecole destiné à des cavaliers déjà confirmés et non à des débutants. Isa emploie la même technique qu’avec le cheval précédent. Je ne comprends toujours pas ses effets de mains, en particulier, quand, sur ce qui me semble être une demande de flexion, je vois sa main gauche passée sous son aisselle droite ? Mais encore une fois tout cela se passe loin au fond du manège et sans explications… il me semble que si j’avais eu la chance de pouvoir monter un cheval dans ces conditions, je me serai arranger pour travailler auprès de son cavalier habituel afin de pouvoir échanger nos sensations. Surtout qu’il apparaît très vite que le résultat est le même qu’avec le cheval précédent et cela avec les mêmes commentaires en finalité ? Pour essayer de comprendre, je demande à JP Tuloup, l’autorisation pour une de mes élèves qui nous accompagne et fait le groom, de prendre le cheval. Le cheval coopère tout de suite mais Stéphanie, impressionnée par l’occasion, n’ose pas pousser le travail malgré mes demandes. Il aurait suffi qu’elle fasse comme avec son cheval personnel, dommage...  Pendant ce temps-là, Pierre est revenu dans le manège avec une jument appartenant à une dame du centre qui lui a demandé de la monter. Quelques minutes leur suffiront pour se comprendre et très rapidement Pierre commença à lui proposer un placé et des exercices dont elle compris vite l’intérêt. Un travail harmonieux, au débotté et dans l’exemple parfait de la devise du Gal L’Hotte : calme, en avant et droit.
Comme j’apprends à JP. que Stéphanie travaille régulièrement à l’épaule avec son cheval personnel, celui-ci lui offre spontanément et très gentiment, une démonstration. Un très joli point d’orgue pour le travail en manège de cette journée et un magnifique exemple de disponibilité.
               Comme nous devions rentrer sur le Luxembourg et que je devais encore voir avant de partir une de mes élèves/enseignante, membre d’AI et auditrice de la journée. Je ne pus participer aux projections vidéo en salle.   
 
                              En conclusion personnelle sur le travail à cheval, de ce que j’ai pu apprécier :
Pour le côté négatif :
-des cavaliers qui bougent beaucoup, emploient encore beaucoup les mains et les jambes quand un simple effet d’assiette suffirait. Mon expérience d’enseignant me fait trouver là, les résidus d’une formation équestre moderne, essentiellement axée sur la compétition et la monte en suspension, les habitudes sont difficiles à perdre même chez des gens expérimentés.
Pour le côté positif :
-ce qui me frappe c’est la recherche par tous les cavaliers participant, d’un réel dialogue avec le cheval quelle que soit la technique employée. Et cela est rassurant pour l’avenir.
 
En conclusion de la journée, et pour preuve de l’intérêt manifeste de ce type de manifestation, je dirai que j’en souhaite vivement la reconduite car j’aimerais que l’on puisse aller plus loin dans les échanges. Tout ce prêtait à cela, un accueil parfait pour les chevaux et les gens, des hôtes charmants, un cadre exceptionnel tout en tranquillité, un lieu parfaitement adapté, un très bon choix de la part d’Yves. L’essai est réussi, il reste à le transformer…
JM Bertrand

 

Philippe BOIRET
Déconnecté
Inscrit: 18/12/2010

Merci Jean-Michel pour ce compte rendu si positif.

KATZ Yves
Déconnecté
Inscrit: 17/03/2006

 Commentaire complet, plus complet que n'aurait pu l'être le mien..........Complet, car à plusieurs occasions, pour veiller au bon déroulement de la journée, ayant dû quitter le manège, j'ai "raté" quelques moments.. pour le reste, je partage son sentiment. Comme je l'ai précisé, la pédagogie a été, pour moi, la grande absence de cette journée.
J'ai fait quelques commentaires sur le forum Educaval, le premier des compte rendus ayant été donné sur ce même forum. Cela me vaut aujourd'hui quelques mots désagréables..........
Comme Jean Michel, je reste sur ma faim: j'aurai aimé que l'on aille plus loin pour essayer de résoudre le problème de Ph Boiret et de son cheval. Mais a-t-il laissé entendre qu'il voulait qu'on essaye de trouver une solution àcette défense ou était ce une interprétation de ma part?j'avoue ne pas m'être senti dans mon rôle si je proposait d'aller plus avant dans l'étude de ce cas.
Comme jean Michel, j'aurai aimé monté certains chevaux pour me faire une idée précise du travail fait. Le visuel reste souvent subjectif............Mais la journée n'aurait alors jamais eu de fin.................
Comme jean Michel, je pense que Isa aurait dû commenter ce qu'elle faisait.. Cela aurait certainement permis que certains flous, certaines interprétations ne soient pas...........
Jean Michel a une attention que je n'ai pas. Il a le sens du détail et de la concision... Son commentaire a certainement plus de valeur que le mien et j'agrée à la plupart de ses conclusions.
Le monde du cheval est un monde particulier, où les nerfs sont souvent à fleur de peau. Ce qui ne m'empêchera pas, je pense, d'organiser d'autres rencontres, sous la double bannière de AI et d'Educaval ( si l'association en est d'accord); comme je le fis par le passé , du temps des coordinateurs.

Amicalement, yves KATZ http://educaval.forum-pro.fr/

Bruno dLB.
Déconnecté
Inscrit: 24/11/2007

Merci Jean-Michel pour ce beau compte rendu.

Il me permet, enfin, de découvrir l'ambiance dans laquelle les participants ont évolué et de comprendre ce que chacun a souhaité présenter.

je découvre aussi que la rencontre n'était pas essentiellement pédagogique.

Cordialement.