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steinbrecht, le livre

170 réponses [Dernière contribution]
Théophile Pamphlet
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Inscrit: 26/08/2008

 aThéophile Pamphlet

tenduba
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Inscrit: 29/09/2011

N'ayant lu que la traduction française, je dois dire que mon sentiment se rapproche de ce que nous dit upwelling.

J'ai trouvé ce livre bien différent de ce que je pensai trouver , et bien loin de  "tirer dessus/taper dedans".

Le mieux étant de le lire pour en avoir une idée globale et se faire son opinion.

Christopher Cunningham
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Inscrit: 24/06/2007

Je partage entièrement l'avis de Tenduba.

Et gardons nous de tout anti-germanisme primaire.

Il resterait à connaître les véritables raisons de la très faible difusion de l'édition d'Elbé.

Si l'on veut bien comparer les années 1985 à 2000 à notre époque actuelle, la très grosse différence réside dans le Web, formidable outil de communication et, disons-le, de promotion pour l'édition (sans parler d'Equidia). Si Elbé avait édité Steinbrecht il y à six mois, 1000 exemplaire seraient déjà vendus, ne croyez-vous pas?

upwelling
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Inscrit: 23/11/2011

  de plus les propos de M Pamphlet et ceux qu'il reprend à son compte sont caricaturaux . Il n'aime pas cette methode d'équitation , sur ce point pas de probleme ...

mais vouloir discrediter un traité equestre , en insinuant d'abord qu'il a été traduit par un cavalier Baucheriste qui en aurait détourné le sens , puis en disant qu'il aurait été traduit de manière edulcorée ce qui est en contradiction avec le point précédent, puis en venant insinuer que les vétérinaires feraient des consultations et actes sur des chevaux travaillés par les principes de Gustav Steinbrecht ( je serais curieux de savoir combien de praticiens vétérinaires ont étudié les principes de Gustav Steinbrecht et peuvent donner credit à une insinuation aussi gratuite que farfelue ..) 

et que de plus il s'agirait d'un phénomène ample alors que le livre de Gustav Steinbrecht en langue Française est éditée à un tout petit nombre d'exemplaires ( si maintenant le serment de Bourgelat doit etre prononcé uniquement par des praticiens maitrisant couramment la langue de Goethe , surtout que l'on m'informe )

mais c'est grotesque ... 

et lancer à la cantonade quelques lignes extraites d'un livre particulièrement dense  , qui de plus ne sont pas des élements methodologiques  , pour essayer un ultime effet de manche  , on est dans le registre de la caricature  ... 

 

MAUREL Bernard
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Inscrit: 17/03/2006

oui mais la personne qui signe du pseudo de Th Pamphlet est spécialiste de la provoc et de la caricature ( avec parfois un certain humour ...) ; le principe  des citations est discutable, car on trouve aussi des horreurs dans La Guérinière ( partie Hippologie ) pourtant référence incontournable ; mais les morceaux choisis pourraient être l'occasion d'un débat calme et fructueux ( entre adultes responsables qui évitent de s'insulter, s'entend bien ...! )

upwelling
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Inscrit: 23/11/2011

 cher Monsieur 

si vous cherchez quelques beaux morceaux choisis  , je me permets de mentionner un passage du gymnase du cheval , auquel je vois un reel interet methodologique 

Quand la colonne vertébrale est suffisamment rompue à la flexion de côté , quand chaque postérieur , par la pratique des lignes courbes , à été habitué à porter davantage de poids , que les extenseurs de l'encolure ont été rendus flexibles et que la résistance de la nuque est éliminée , il y a lieu de commencer à charger les deux posterieurs à la fois . (traduction d'Edouard Dupont)

If the lateral bending of the spinal column is developped sufficiently , if the riding of curved lines has accustomed each individual hind leg to carrying a greater load , if the extensor muscles of the neck are able to yield , and the resistance of the poll has been overcome , it is time to put the weight
on both hind legs . ( traduction de H.K. Gibble) 



 

Christopher Cunningham
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Inscrit: 24/06/2007

On peut comprendre que l'expression "traction de rêne" puisse indisposer les âmes sensibles.

Cependant, lorsque le cavalier par une manoeuvre tout à fait volontaire, calculée et limitée dans le temps et le degré, augmente la tension d'une rêne, il y a par le fait "traction". Pas besoin d'un diplôme de physicien pour comprendre cela. La main qui agit.

Lorsque le même cavalier, met un terme à l'accroissement de tension de la rêne, terme fixé par son sentiment en proportion de la résistance rencontrée à l'autre bout de la rêne, la traction initiale se transforme en résistance. La main qui résiste.

Lorsque le cheval est mis dans l'impossibilité d'étayer sa propre résistance sur le prolongement de la phase d'appui d'un de ses postérieurs ou de sa déviation, il n'a guère d'autre choix que de céder à la main qui résiste, il céde à la main, laquelle accorde le confort immédiat. La main "fixe" qui cède.

Certains s'emploient à démolir tel ou tel auteur, d'autres s'emploient à améliorer jour après jour leur habileté et leur sentiment (des résistances, des déviations). Ces derniers ne ménagent pas leur sueur car, alliée à la réflexion, c'est par elle qu'ils pourront un jour se "reposer" sur leur cheval.

CC

Théophile Pamphlet
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Inscrit: 26/08/2008

aThéophile Pamphlet

upwelling
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Inscrit: 23/11/2011

M Pamphlet , commentaire à nouveau ubuesque 

la leçon des flexions consiste à mettre l'épaule devant , avec la progression methodologique que j'ai cité . Il n'y a pas de cession ( au sens commun et encore moins au sens baucheriste de la chose) dans la mesure ou Gustav Steinbrecht recherche essentiellement la constance et l'égalité de l'appui , qui sont la mesure de la correcte flexion des cotes et de la liberté des épaules . C'est la flexion des cotes et la liberté des épaules qui donnent le dos souple qui fait que le cheval est dans la soumission des ressorts & dans la legereté , par le fait que les membres agissent vers le centre de gravité et exclusivement vers le centre de gravité. 

 

Théophile Pamphlet
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Inscrit: 26/08/2008

aThéophile Pamphlet