école française, allemande, et bauchérisme

...

 parce qu'il s'appuie sans avoir les épaules devant , sans flexion costale .... ( ce n'est pas de l'appui tels que les anciens l'entendaient , c'est de la rigidité dans le contact , tels que les  " modernes " l'entendent ...) 

Petite precision pour  Hervé...qui me ferait presque passer pour un menteur :))

ce que j appelle,  a tord d accord,  longueur de la foulée c est la distance entre anterieur et posterieur ou distance interdiagonal.......cette distance comme je l ai dit ne varie presque pas...;c est bien la distance dont le cheval se mejuge qui fait la difference, dans les differents trots.........:))

Clayton elle nomme longueur de foulée:     distance interdiagonal + distance de mejugeage donc la variation de sa longueur de foulée est essentiellement liée au mejugeage...donc au rapport entre pousée vers lavant et poussée vers le haut......CQFD

Clayton écrit effectivement que pour augmenter la longueur des foulées il faut augmenter la suspension. Mais suspension ne veut pas nécessairement dire poussée vers le haut, comme le montre cette étude.

http://num.equestre.info/articles/trot.pdf

Extrait :

Le passage se distingue des autres variations d’allure par la plus grande amplitude de déplacement vertical (0,12 m) et la plus faible propulsion en avant (pratiquement nulle).
A I’opposé, le trot aIlongé nécessite la propulsion la plus élevée et le déplacement vertical le plus faible.

Je crois qu'il a été montré il y a longtemps que le temps de suspension au trot n'était pas la conséquence d'une force vers le haut (qui implique une flexion des membres à l'appui), mais plutôt de la flexion des membres au soutien.

Piotr,

En simple filet, ne croyez-vous pas qu'une main peut agir dans l'esprit du filet et l'autre main dans l'esprit de la bride?

Je veux dire que la première s'élève lentement vers l'oreille sans augmentation de la tension et que la seconde donne éventuellement un petit tour de clé tout à fait en place. La première étant, dans le cas courant, celle du dedans et la seconde celle du dehors. Mais dans l'exploration, on peut inverser.

Pourquoi ne pas échanger d'avantage sur nos procédés? Avec toute les réserves qui s'imposent.

Christopher

Pour Hervé dans votre artcile, cela repond il a vos interrogations

In the extended trot, " Stride length is increased by projecting

the horse high into the airborne phase, allowing

the hind limbs to show more overtracking."

...

 ne faut il pas avec le simple filet que les actions de main soient toujours dirigées vers la hanche du cheval ?? main du dehors vers la hanche externe 
main du dedans vers la hanche interne à savoir " à demi en arrière - à demi en dedans " ??? 

Pierre,
mon dernier message discute précisement la phrase que vous citez.
La phase de suspension n'implique pas une "projection" en l'air, c'est à dire une force verticale, mais la flexion des membres qui perdent ainsi contact avec le sol.

ah bon  clayton vous dit pourtant le contraire