La flexion de l'épine dorsale
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sauf que Monsieur Plinzer , au final , et je venais de le comprendre , dit sur les jambes des choses tres différentes de votre conclusion ,
par contre sur le thorax et la respiration , je ne peux que plussoir & vous remercier de m'avoir aidé à comprendre certaines choses ...
Autre temps, autres moeurs et autres chevaux...
Ce qui est bien dans l'évolution du monde équestre, c'est que chacun peut y apporter sa pierre et c'est là une fort et belle chose!
PS: je ne pose pas de conclusion, je propose une réfexion...
néanmoins , dans la definition intemporelle donné par Steinbrecht , il n'est pas énoncé que c'est par une action directe sur les côtes que l'on obtient pour autant leur flexion ...
Je vous ferai remarquer qu'il n'existe pas de "définition intemporelle" et cela quelque soit la personne qui prétend la donner...
Si votre expérience pratique était aussi grande que votre connaissance livresque vous sauriez que l'on finit toujours par rencontrer un cheval qui vous prouve le contraire de ce que vous pensez. Et c'est bien car cela apprend l'humilité.
Ensuite, je ne parle pas de Steinbrecht en particulier mais de technique générale et basique que tout cavalier lambda se doit de connaître. Je considère que du fait de mon rôle d'enseignant, je me dois plus à une vulgarisation de bon aloi qu'à un élitisme hermétique.
ce qui prouve bien que tout enseignant - quel que soit ses qualités - ne convient pas à toute étude ...
Je suis d'accord, en précisant qu'il s'agit d'une question de choix personnel. De même que la compétition de haut niveau fournit rarement de bons enseignants. Question de personnalité et de tempérament sans doute...
Je romps la "joute" sur ce forum car je crois qu'elle n'y a pas sa place.
Mais je serai ravi de la reprendre à l'occasion et j'en profite pour lancer une idée qui me trotte dans la tête depuis quelques temps: pourquoi ne pas faire un "club des chercheurs au sein d'AI? Je ne sais pas sous quelle forme mais je souhaiterais que ce soit physique et non virtuel... La convivialité, et donc le travail, y gagnerai certainement. Qu'en pensez-vous les uns et les autres?
Upwelling : ce que l'on voit bien sur ce shéma , c'est que les 8 premières cotes ne sont pas à la verticale du dos , mais en avant des jambes du cavalier , donc si la flexion costale avait un lien avec la latero flexion du rachis , ce serait les fausses côtes ( et non les côtes ) qui se flechieraient ...
Ok sur ce schéma, mais tous les chevaux n'ont pas une si belle épaule oblique !
je crois qu'avec ma jument, à l'épaule droite et au garrot en avant, je ne me trouve pas assise exactement au même endroit qu'il est suggéré sur le schéma !
voici une photo assez parlante.... Si ce cheval ne se ploie pas du tout, alors que l'on m'explique pourquoi cet arrondi sous la ligne du ventre et ce ploiement de tout le corps ?
certes, certains sont plus souples que d'autres, comme les gens, mais je suis totalement contre l'idée qu'un cheval est un bout de bois impliable !
[url=http://www.servimg.com/image_preview.php?i=3930&u=11795120][img]http://i39.servimg.com/u/f39/11/79/51/20/18077710.jpg[/img][/url]
http://i39.servimg.com/u/f39/11/79/51/20/18077710.jpg
rhaaaaaaaaa !! mais pourquoi je n'arrive pas à mettre la photo !!
Yesssssssssss !!!!
Maltosa je suis entièrement d'accord avec vous
je peux vous dire que la flexion costale , c'est une réalité , je l'ai bien senti en travaillant les chevaux ... et je suis sur de ne méjuger de rien , et je m'amuse beaucoup de l'analyse de Mr Karl ...
... certes la flexion costale n'est pas dans les fausses côtes , mais elle est bien dans les côtes , et ce n'est pas G.Steinbrecht qui en parle le mieux mais
FR Guerinière .....
Très belle photo!
On voit que le cheval intériorise totalement ses sensations du moment présent. Il va les mettre dans sa mémoire et saura les ressortir au bon moment. Qui a envie de lui faire retrouver ses allures naturelles sous la selle?
Cher (e) Upwelling, je vous laisse volontier la recherche de pure théorie historicienne...
De mon coté je préfère une réflexion plus pragmatique.
Comme vous l'avez fait remarquer, de par la constitution même du squelette, la possibilité d'agir directement sur le groupe des côtes sternales est quasiment nulle. Donc je propose de réflechir à la position de la jambe du cavalier en rapport avec sa place le long des côtes asternales (donc flottantes).
On voit immediatement l'importance que prend le fait d'avoir une jambe la plus droite possible, que se soit dans la position assise ou en suspension, au moment de l'action de demande d'incurvation. Autre remarque, l'habitude prise aujourd'hui de sangler très en avant, oubliant le vieux principe de placer la sangle à une main minimum en arrière du coude est incontestablement mauvaise, les conséquences sur la capacité du cheval à ployer son thorax (et à respirer) en est diminuée d'autant. Et je ne parle pas de l'influence de la selle et de son positionnement...