le moins drole est que beaucoup trop ne verrait pas oû il y a problème dans ces reponses. la route est longue

(par Auteur anonyme)

Bonsoir,

Cela pourrait être amusant si c´était de la fiction... Mais avec de telle fautes de français, c´est aussi insultant pour l´équitation que pour la langue française !

J´en reste sans voix !

StephE

(par StephE)

Pauvre Jean d´Orgeix ...

(par Yasmine)

il n´y a rien de nouveau, comme cette jeune est en club, que font le ou les moniteurs ? ... idem

c´est pour cela que dans les parcours officiels cso, on ne trouve plus de parcours techniques car les cavaliers sont dans l´incapacité de travailler les chevaux, donc les chefs de pistes font des obstacles qui font peur aux chevaux, veritables oeuvres d´art avec des formes et couleurs extra.

a savoir qui fera l´obstacle le plus " beau " pour planter les chevaux.

nous somme loin de l´article 208-1 du réglement CSO=

" les obstacles doivent être engageants par leur forme et par leur font, variés et cadrer avec l´environnement. etc.."

nous trouvons sur les parcours des obstacles que l´on ne voit pas en national ou international. sur 12 obstacles, par exemple, il y a au moins 10 avec soubasement " artistiques ".

voilà le coup de gueule à la suite du sujet.

cordialement

(par Serge)

Humour oui ... mais hélas humour triste.
Cette jeune personne qui dispense de judicieux conseils avec une orthographe démontrant le niveau de notre éducation nationale est parfaitement fidèle à l´enseignement équestre officiel. Elle va un peu plus loin!... cela prouve qu´elle a du caractère mais ses "procédés" sont parfaitement dans la ligne de ce que l´on enseigne. Les manuels nous disent qu´il ne faut même pas ployer le poignet, le mot de décontraction n´est presque jamais employé. Pour ralentir ou arrêter, il faut jeter son corps en arrière pour "tirer" avec tout son poids. Je le vois sans cesse avec des jeunes montant à cheval avec moi pour la première fois. Et la dernière ... si du moins ils entendent nos hurlements indignés!!!
Pauvre France équestre.

(par Jean d´Orgeix)

Bonjour,

Je ne peux que confirmer, hélas, ce que dit Monsieur d´Orgeix.

encore un exemple=

j´etais à un concours il y a peu et je prends un malin plaisir à aller voir les détentes .

un moniteur, qui a pignon sur rue, demande à sa cavalière de venir sur l´obstacle.

le jeune cheval attaquait les barres.

le moniteur à dit textuellement au cavalier =

" mais tire lui sur la gue...., bon dieu ! "

tu es vraiment nulle !

Chevalier, je me demande vraiment, vu l´empleur du désastre, si nous arriverons à faire changer les mentalités ?

cordialement
Serge

(par Serge)

Bonjour à tous,

Mais oui Serge les mentalités évoluerons. Cependant j’insisterai toujours sur le fait que ce n’est pas seulement un problème d’équitation mais de société d´une manière en générale. Nous vivons une période particulièrement égoïste. Pourquoi se poser la question de savoir si un cheval peu avoir mal ou pas, psychologie du cheval c’est quoi encore tout cela ? Aller vers une équitation de légèreté c’est justement se poser des questions et par voie de conséquence se remettre en question et là est tout le problème. Tôt ou tard le travail d’Allège portera ses fruits,il faut surtout ne pas se décourager mais peut être user de plus de psychologie, taper du poing lorsque c’est nécessaire, en tout cas garder le cap.

Cordialement

Alain

(par Alain)

Bonsoir à, tous,

Ne vous inquiétez pas Alain, je ne baisserai jamais les bras, ce n´est pas mon style.

chaque fois que je le peux, je parle de nous et explique ce que nous faisons. j´ai eu déjà de bons échos.

Cordialement

Serge

(par Serge)

C´est effectivement affligeant, ce que l´on peut lire sur certains forums, ou voir sur les terrains de concours, et pas seulement en CSO .... Il faudrait, pour voir une amélioration, revenir aux anciennes forules d´examen : des examinateurs fédéraux qui font passer les exams, avec une large part de théorie et psychologie du cheval. Et revenir à l´ancien monitorat, celui des années 70 ...
A vouloir trop démocratiser l´équitation, beaucoup de soit-disant pros prennent le cheval comme une mobilette, et servent d´exemple à leurs cavaliers .... C´est à pleurer.

(par Emmanuèle)

Serge a écrit :
le moniteur à dit textuellement au cavalier =
" mais tire lui sur la gue...., bon dieu ! "

Je confirme aussi que ce genre de conseils est donné par les moniteurs dans mon ancien club.
Le pire entendu, alors que le cheval venait de piler devant la barre, c´est le moniteur hurlant au cavalier "tue-le sur place !".
J´y passe 2/3 fois dans l´année pour saluer les anciens copains qui y sont toujours, et à chaque fois, j´ai l´impression que ni cavaliers ni chevaux n´ont progressés.
Je suis de plus en plus convaincue que pour vraiment apprendre l´équitation et le savoir faire équestre, il faut avoir son cheval, se donner du mal pour se former seul et choisir quelques bons enseignants chez qui prendre des cours réguliers et les conseils qui vont bien.

(par stephanie)