Bonsoir Caroline,
A mon avis, on ne travaille ni au trot ni au galop un cheval que l´on ne peut pas arrêter au pas.
Donc, je suggère que vous travailez seulement au pas jusqu´à ce que les transitions pas/arrêt soient faciles.
Cela devra se faire dans la légèreté:
de l´arrêt au pas - un pas ou deux - arrêt. Caressez et augmentez le foulées au pas au fur et à mesure que le transitions pas/arrêt soient obtenues sans tirer.
Bonne chance! MK
//////
Hello Caroline,
IMO, We don´t work a horse at the trot or at the canter when we can´t stop him at the walk.
Thus, I suggest that you work only at the walk until the transitions walk/halt are easy to obtain.

(par MK)

Bonsoir Caroline,
A mon avis, on ne travaille ni au trot ni au galop un cheval que l´on ne peut pas arrêter au pas.
Donc, je suggère que vous travailez seulement au pas jusqu´à ce que les transitions pas/arrêt soient faciles à obtenir.
Cela devra se faire dans la légèreté:
de l´arrêt au pas - un pas ou deux - arrêt. Caressez et augmentez le foulées au pas au fur et à mesure que le transitions pas/arrêt soient obtenues sans tirer.
Bonne chance! MK
//////
Hello Caroline,
IMO, We don´t work a horse at the trot or at the canter when we can´t stop him at the walk.
Thus, I suggest that you work only at the walk until the transitions walk/halt are easy to obtain.
This must be down in lightness:
from halt to walk - one or two steps of walk - halt. Caress. And increase th steps of walk as the transitions walk/halt are obtained without pulling.
Good luck; MK

(par MK)

Pour lui rendre cet arrêt désirable, vous pouvez aussi, au moins les premiers temps, l´annoncer de la voix (juste avant l´action de rênes), puis le récompenser d´un petit sucre (qui décontracte bien la bouche!). D´abord systématique, cette friandise pourra ensuite devenir aléatoire, quand la jument aura compris la procédure. Mais il faut bien sûr que les arrêts se succèdent, pour être prévisibles.
La voix vous permettra alors rapidement des arrêts depuis le trot (voire du galop), vous donnant une certaine sécurité, en attendant que l´éducation de la bouche ait porté tous ses fruits...

(par vsv)

Bonjour,

Je ne fais que répéter les propos de M. d´Orgeix et pour lui, le galop est une allure à quatre temps, dont le troisième temps est le moment où le cheval est complètement en suspension.

Il suggère donc, qu´un cheval ne PEUT pas tirer au galop si le cavalier n´agit QUE au moment de ce temps de suspension. En dehors du moment où le cheval n´a aucune papate au sol, le cavalier ne doit rien toucher.

StephE

(par StephE)

bonjour,

pas de problème sur le fond, mais le galop n´est-il une allure régulièrement à trois temps (postérieur ext, bipède ext, antérieur int) avec suspension, qui, lorqu´il est passé à quatre temps, dissocie le diagonal du deuxième temps, avec poser du postérieur avant l´antérieur (et surtout pas l´inverse) ?

(par warren)

Ah non chère Caroline, rentrant de voyage et lisant votre message, je ne peux sans réagir vous laisser dire: " ... je me penche en arrière et tire avec force..."
Comme en faisant cela, obligatoirement vous élevez les mains, donc fermez l´angle rênes-chanfrein; vous provoquez l´ouverture de la nuque et le bloquage du rein, or on ne peut renvoyer du poids sur l´arrière-main si le cheval n´est pas souple.
Pour arrêter votre cheval, mettez-vous en "équilibre sur vos étriers". Je sais que cela ne s´apprend plus et vos problèmes en sont les conséquences.
Être en "équilibre", c´est pencher le buste en avant, en reculant (très peu) votre bassin de façon à ce que votre centre de gravité soit dans la verticale des étrivières (le poids avancé du buste parfaitement égal avec celui reculé du bassin). Seulement cela implique le poids dans les talons, le genou fixe et les bas de jambe verticaux (Si le genou se trouve devant les pieds, on ne peut pas être en équilibre).
Dans cette attitude (classique autrefois), le cavalier peut facilement résister à n´importe quelle tension (j´ai dit: "résister" et non tirer). Pour reprendre votre cheval, faites-le mains basses en actions alternées (droite-gauche) pour obtenir la décontraction de la mâchoire et de la nuque et alors le ralentissement s´effectuera tout naturellement. Ne revenez à la position assise que lorsque le cheval aura cédé et sera souple.
C´est le contraire de ce que l´on vous a appris? ... oui... je sais...!

(par Jean d´Orgeix)

Pour Monsieur d´Orgeix: En fait nous étions au galop en suspension et j´ai d´abord essayer de l´arrêter dans cette position avec les mains basses et n´ayant aucun résultat je me suis effectivement penché en arrière assise pour avoir plus de force. Donc je retiendrai la leçon de ne plus le faire et ferais attention la prochaine fois. Je répète que je ne monte normalement pas comme ça, je monte normalement des chevaux assez fins et qui répondent à la voix (comme le préconise Véronique). C´est dommage parce que c´est une super petite jument de balade qui n´a peur de rien et tout terrain. Je vais demander à sa proprio si elle peut me la laisser pour la travailler déjà à pied.

Merci à tous

Caroline

(par Caroline Kiener)

Sur toutes les reponses parue a propos de la bouche dure il est decourageant de ne lire qu´une seule personne a fait preuve de bon sens. Stephanie suggere de tout reprendre a zero en utilisant le...cavecon a la longe. J´ajouterai simplement qu´il faut completer ce travail par le travail a pied en utilisant le meme materiel. Tous les exercices sont possible: voltes, transitions, pas de cote etc...Ensuite, il faut se mettre a cheval et repeter les memes exercices mettant une paire de renes: l´une fixee sur les boucles du cavecon, l´autre sur le mors. La reeducation se fait donc sans force car, si le cheval a compris les fonctions du cavecon lors du travail a pied et a la longe( avec l´aide de la voix laquelle peut etre utilisee lors du travail monte. Il faut alors agir progessivement du cavecon sur le mors jusqu´a ce que le cheval s´accoutume aux effets des mains. Des que le cheval comprend, le cavalier peut abandonner le cavecon et y revenir si besoin est. Amicalement. Fredy

(par fredy mercay)

Juste une petite question à Fredy.
Si on obtient tout ce que l´on veut en fixant les rênes sur le caveçon ou la muserolle, pourquoi utiliser dans ce cas le mors, ne vaut-il pas mieux laisser tomber son utilisation?

(par Anne)

Pour Monsieur Mercay: Est-ce que vous pourriez-me redonner vos coordonnés? Je vous avais contacté par mail il y a un an pour faire des cours et je n´ai pas donné suite pour diverses raisons personnelles!
Merci
Caroline Kiener

(par Caroline Kiener)