Merci pour ce travail qui pose en effet certaines des questions indispensables pour éviter à l’association de zigzaguer ad vitam.

Voici une question de plus : à qui poser les questions ?

Pour moi, une seule réponse : les adhérents, tous les adhérents.
Et j’en reviens au besoin souvent évoqué (depuis maintenant plusieurs années) d’éditer un questionnaire et d’en tirer les conséquences.

Le choix des questions est important (plusieurs propositions ont été transmises à l’association) mais plus encore l’est le dépouillement. Ce dernier demande au préalable la réalisation d’outils de bases de données adaptés qui permettent d’obtenir de façon claire -et pour le coup indéniable- des résultats exploitables (statistiques, définitions, public, attentes, …).

C’est un travail énorme, une campagne d’informations qui demande l’élaboration d’une véritable stratégie et qui a certainement un coût financier conséquent, mais je ne vois pas d’autres moyens.

Pour répondre aux attentes des adhérents, ne faut-il pas commencer par connaître les attentes des adhérents ?!

Qui doit s'adapter à l'autre ? l'association à l'adhérent ou l'adhérent à l'association ? personnellement je penche pour le second cas , et je considère que être élitiste n'est ni un gros mot, ni prétencieux : le nivellement doit se faire par le haut, et pas par le bas. Soyons clairs, l'association défend l'équitation de légèreté dans le respect de l'Art équestre de tradition française, et notamment le respect intégral de l'article 401 : le jour où j'ai adhéré, c'était m'engager dans cette façon de penser là, et me retrouver avec des gens qui n'avaient surtout pas envie de vendre leur âme pour gagner à tout prix. Dans une association, on se regroupe pour augmenter les forces de personnes qui veulent la même chose, on ne vient pas pour y prendre quelque chose : la nuance est de taille ! si on fait partie d'une association pour la défense des animaux, c'est uniquement pour les défendre, pas pour en retirer quoique ce soit d'autre ! logique ?
Donc, s'il faut recenser quelque chose, à mon avis, ce sont les compétences que chacun peut apporter à l'association pour faire revenir le dressage à ce qu'il avait de plus beau en compétition.
Désolée si je vous choque, mais je n'aime pas les compromis. De plus, étant d'extraction plus que modeste, je crois que je peux me permettre de dire que lorsque l'on veut vraiment, on peut, et qu'il faut arrêter de se trouver toujours des béquilles.
Bien amicalement
Sylvie

Qui doit s'adapter à l'autre ? l'association à l'adhérent ou l'adhérent à l'association ? personnellement je penche pour le second cas , et je considère que être élitiste n'est ni un gros mot, ni prétencieux : le nivellement doit se faire par le haut, et pas par le bas. Soyons clairs, l'association défend l'équitation de légèreté dans le respect de l'Art équestre de tradition française, et notamment le respect intégral de l'article 401 : le jour où j'ai adhéré, c'était m'engager dans cette façon de penser là, et me retrouver avec des gens qui n'avaient surtout pas envie de vendre leur âme pour gagner à tout prix. Dans une association, on se regroupe pour augmenter les forces de personnes qui veulent la même chose, on ne vient pas pour y prendre quelque chose : la nuance est de taille ! si on fait partie d'une association pour la défense des animaux, c'est uniquement pour les défendre, pas pour en retirer quoique ce soit d'autre ! logique ?
Donc, s'il faut recenser quelque chose, à mon avis, ce sont les compétences que chacun peut apporter à l'association pour faire revenir le dressage à ce qu'il avait de plus beau en compétition.
Désolée si je vous choque, mais je n'aime pas les compromis. De plus, étant d'extraction plus que modeste, je crois que je peux me permettre de dire que lorsque l'on veut vraiment, on peut, et qu'il faut arrêter de se trouver toujours des béquilles.
Bien amicalement
Sylvie

Je ne suis pas forcement en désaccord avec Sylvie, mais là n’est pas la question. Je continue à penser que –pour caricaturer- le savoir c’est le pouvoir.

Aujourd’hui on ne sait pas grand-chose.
Il se trouve qu’en l’état actuel il y a des centaines d’adhérents, il se trouve que leurs motivations ne sont pas clairement défini aujourd’hui et que pour le grand public le but d’Allege Ideal ne le soit pas non plus : Faire un état des lieux s’impose.

Sans avoir jamais été militaire, il me semble que l’on effectue des reconnaissances avant de prendre des décisions et de se lancer dans l’action.
Alors faire tel ou tel choix, ok ! Ceux qui veulent suivre suivent et les autres s’en vont vers quelque chose qui leurs correspond mieux, d’accord !! Mais en connaissance de cause.

l'association défend l'équitation de légèreté dans le respect de l'Art équestre de tradition française, et notamment le respect intégral de l'article 401

Elle me va bien cette définition : l"association défend l'équitation (donc pas seulement le dressage) de légèreté,
notamment (donc pas seulement) le respect de l'article 401 .

Si j'ai adhéré à l'association, c'est parce que les termes de l'article 401, légèreté, respect du cheval me semblent devoir être défendus quelque soit la forme d'équitation que l'on pratique.

De plus, si j'ai eu la chance de rencontrer à mes débuts, un instructeur qui a pu me montrer et m'enseigner ce qu'était la légèreté, je trouve que c'est de plus en plus difficile de trouver un enseignant et des chevaux capables de faire sentir ce que c'est. Du coup, je vois de nombreux cavaliers qui ne cherchent pas à atteindre cet objectif, non par manque de motivation, mais par complète ignorance de son existence.

Donc, parmi les buts de l'association, je mettrais :
Montrer, expliquer, éveiller la curiosité et transmettre l'héritage des grands écuyers dans lequel on peut trouver tant de réponses pour atteindre l'objectif de la légèreté.

(par Webmaster)