Trombinoscope
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pour l'équitation de loisirs des amateurs, la légèreté peut être considérée comme une façon d'aborder le cheval et comme une charte de bonne conduite.
Elle découle de la prise de conscience du cavalier de la façon dont fonctionne son corps, puis de la faculté à adapter la gestuelle aux mouvements du cheval.
"L'enseigenemnt de base a pour but de permettre au cavalier d'utiliser un cheval dressé en basse école": éduquons nos chevaux et les élèves sauront ce qu'est une certaine légèreté, celle de base indispensable pour ensuite apprendre à éduquer un cheval selon les principes classiques.
Amicalement, yves KATZ
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L'idée d'une charte pour les enseignants est une bonne chose: mais qui va l'établir? cela doit, pour être crédible, être le résultat de la réflexion de plusieurs personnes dont des enseignants;or, comme je l'ai déjà dit, peu d'enseignants répondent à mes appels.
Mais j'attends toujours ,avec positivisme, qu'ils me contactent pour avancer.
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Quand j'écris que peu d'enseignants seraient intéressés par une équitation de légèreté, c'est une question que je pose; mais il n'en est pas moins vrai que celui qui n'a jamais ressenti le plaisir de monter dans la légèreté, celui qui n'a jamais entendu parler de cette manière d'aborder l'équitation (la seule pourtant qui soit de qualité!), cette recherche ne présente que peu d'attraits .
Et je souhaiterais tellement me tromper!
Amicalement, Yves KATZ
Message édité par: KATZ, à: 2006/12/22 17:16
Si c'est trop compliqué, personne ne nous rejoindra !
Allez je me lance :
Règle 1 : enseigner la mobilité de la machoire
Regle 2 : cohérence des aides, des mains et des jambes
Règle 3 : rester à l'écoute de la décontraction de sa monture
Règle 4 : aborder les obstacles en équilibre et non en chargeant
etc...
Yves, vous dites "cette recherche présente peu d'attrait"... tous les cavaliers que je rencontre sont avides de sensations à cheval, se précipitent dans les salons voir des dresseurs, piaffeurs, spectacles qui les font rêver. l'équitation a tout à y gagner, l'enseignement aussi. Peut-être est-ce la peur de se dévoiler qui fait hésiter les enseignants à communiquer. N'oublions pas que derrière chaque BEES se cache un cavalier lambda qui a été passionné au point d'en faire son métier.
Message édité par: dorange, à: 2006/12/22 17:36
Merci Marie,
Je vais réfléchir à votre suite à cette "charte de qualité".
La légèreté en équitation!
Comment la définir, la présenter pour la rendre "vendable"?
Ca, c'est un problème de Marketing!!!
P.S: Pouce!.. vous remplissez le trombinoscope, fait pour que les uns et les autres se présentent ( les vienx briscards du forum comme les "timides de la souris") avec des idées à mettre dans la boite qui suit!..
A la demande de C Poder, pour ceux qui ne me connaissent pas une rapide présentation.
59 ans et des poussières (qui me rapprochent dangereusement de la soixantaine!......)
marié, 3 enfants (3 filles :26,24 et18 ans); c'est dire qu'il a été parfois difficile de concilier vie de famille et professionnelle; et que cela n'est pas encore évident tous les jours.
Un diplôme supérieur agricole, une spécialisation en sciences hippiques et équitation à l'école des haras (c'est lors de ces études que j'ai rencontré et commencer à travaillEr avec Ph Karl que j'apprécie toujours autant)
BEES 2 en 1974
Un stage en 1975 à l'ENE, un autre en 1979 pour suivre une formation aux fonctions de CTR
Deux rencontres avec N Oliviera lors de stages: un en 1968 au Portugal, l'autre en 1977 en France.
Enseignant dans la région parisienne essentiellement, actuellement en préretraite "forcée".
Je m'occupe donc un peu de l'association, que j'ai découverte par hasard sur le net en 2002/2003; j'ai été le premier (chacun se doit d'avoir un titre de gloire!) à intervenir sur le forum.
Mes différentes interventions sur l'ancien forum ont amené CH Carde à me reconnaître quelques compétences pour présenter l'équitation de tradition classique aux gens intéressés et à m'agréer en tant qu'enseignant AI.
Disposant de temps, j'ai accepté de prendre en charge la coordination de la région Ile de France.
Depuis 2004, j'organise des rencontres: 4 par an de manière bénévole en recherchant des intervenants qui peuvent apporter quelque chose, en complément de mes conseils et des lieux susceptibles de nous accueillir
Je pensais que les cavaliers seraient heureux de présenter leurs chevaux et de bénéficier de conseils pour résoudre leurs problèmes ou uniquement améliorer leur pratique quotidienne; je leur proposais aussi des cours théoriques sur des sujets aussi variés que la musculation du cheval, le travail à la longe,.....
Mais je n'ai pas réussi à savoir ce qui les intéressait le plus ( pour moi, comme déjà évoqué, il s'agit d'une relation à trois dans laquelle chacun doit s'exprimer)
Je n'ai aucun doute sur l'attente de la majorité des cavaliers d'une équitation de meilleure qualité, juste sur la meilleure manière de les rencontrer
Enseignant avant tout, j'ai le désir d'apprendre pour le plaisir et le besoin de transmettre ( et tout un chacun peut m'apporter quelque chose).
Enseignant, je m'intéresse avant tout à l'éducation, celle du cheval comme du cavalier et plutôt au travail de basse école . Durant de longues années dans la sciure, j'ai peu monté à cheval et en ai subi les conséquences.
Mon credo: avant que de gérer l'équilibre de son cheval, sachons prendre conscience de notre corps; puis utilisons le en priorité, en respectant les principes de légèreté, de respect et de connaissance du cheval.
Ouf, je pense que cela n'aura pas étré trop long pour que chacun aille au bout de cette présentation.
Amicalement, yves KATZ
Message édité par: KATZ, à: 2006/12/22 19:22
Message édité par: KATZ, à: 2006/12/23 09:28
J'ajouterai que ce qui me tient aussi fortement à coeur, c'est la formation des enseignants, afin que l'on puisse trouver partout les bons conseils pour pratiquer une équitation de qualité.
C'est le deuxième chantier auquel je m'intéresse avec le développement de l'association, qui doit, à mon sens passer par la réunion de tous ceux qui oeuvrent pour une équitation de légèreté, en faisant abstraction si nécessaire de leurs problèmes relationnels et de personnalité!
Bonnes fêtes, belle année 2007 et au plaisir de vous rencontrer.
Yves KATZ
pour yves,
ne penses tu pas que si tu as si peu de retour des enseignants c'est parce que tout simplement les enseignants , et je parle ici des enseignants salariés , n'ont pas le temps ?
pour la simple et bonne raison qu'ils ont de grosses journées et légitimement le droit de vouloir vivre d'autres choses après . Simple rappel statistique de la durée de vie moyenne dans le métier avant de faire autre chose:3à 5 ans .
La question est donc comment pourrions nous toucher ses enseignants là?
et je rejoins Marie dans l'idée que beaucoup de personnes sont atirées par cette équitation mais n'osent pas ,car ça ne leur semble pas accessible .
D'où il ressort que pour ramener du monde il faut être accessible ( communication!).
Pour l'instant nous faisons un peu peur , l'idéal (avec sans accent philippe peu importe)c'est toujours un peu une autre planète .
comment nous rendre plus accessibles ? et , le voulons - nous ?
Juliette, je ne suis pas tout à fait d'accord avec tes arguments.
lorsque j'étais salarié, 35 heures représentaient peu ou prou le nombre de reprises que j'assurais; ce à quoi il faut rajouter la préparation des cours, le secrétariat du club (prise de RV, renseignements, affectation des chevaux...), la gestion du personnel, le suivi zootechnique des chevaux ( véto, alimentation....), l'animation,le travail des chevaux et j'en passe.( c'est ce qui est formidable dans ce métier: on touche à tout)
Et je trouvais encore un peu de temps pour m'ocuper de ma famille,lire sur l'équitation, me tenir au courant de la vie équestre,chercher à améliorer mes connaissances pédagogiques, etc.....
On trouve le temps si on le désire!!
Quant à la durée de vie professionnelle, il y a là un vrai problème.
Mais si le turn over est si important, si les abandons sont si nombreux,c'est qu'il y a au départ une mauvaise orientation et un mauvaise présentation aux postulants de ce qu'est le métier d'Enseignant, ainsi que d'une préparation incomplète.
Se rendre accessible, c'est être disponible; combien d'enseignants ont essayé de contacter d'autres enseignants pour discuter de tout ce qui concerne leur métier.
Quant aux enseignants non salariés, je ne pense pas qu'ils disposent de plus de temps que les autres: recherche de clientèle, travail des chevaux, cours, déplacements, etc....représentent beaucoup d'heures.
Amicalement, yves
Bonjour à tous
A.I. défend la légèreté en équitation ce qui est, à mon avis, une bonne idée seulement le problème est que chacun d'entre nous en a sa propre définition. De ce fait l'association est constituée de membres ayant des conceptions équestre fondamentalement différentes. Dans ces condition défendre l'article 401 et quelques autres oui, mais pour le reste je m'interroge.
En tout cas bravo Marie, si l'on veut avoir une chance de réussir il faut au moins essayer.
* * * * * Joyeux Noël * * * * *
cordialement pierre
KATZ Yves écrit:
"3 enseignants" ? "quelques clubs" ? Et l'on s'étonne de ne pas être pris plus au sérieux malgré tout le travail accompli ?
A quand la charte que chaque enseigant adhérant s'engagerait à respecter pour avoir le droit de figurer dans l'annuaire ?
http://www.aepde.com/
À vouloir placer la barre trop haut, on fini au refus.