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Mille mercis!

2 réponses [Dernière contribution]
Anonyme
Déconnecté
Inscrit: 28/08/2011

En ce beau dimanche les mots de notre président me remplissent d´espoir et c´est d´un pas plus léger que je m´en vais soigner mes chevaux.

Alors, merci à l´association d´exister, merci à son bureau de la faire vivre, merci à tous ses membres de la faire grandir.
Oeuvrons tous avec courage et patience à son rayonnement!

Avec gratitude,

Catherine.

(par Catherine Poder)

Anonyme
Déconnecté
Inscrit: 28/08/2011

Nom d´un petit cheval!
Nous ne sommes pas dimanche, mais le 14 juillet!

Puissions nous réussir une révolution équestre!..

(par Catherine Poder)

Anonyme
Déconnecté
Inscrit: 28/08/2011

Oui, merci et bravo Colonel.

Comment les choses se passent-elles dans les hautes sphères de la FEI ? Comment cette politique de l´autruche peut-elle perdurer?

Beaucoup de méthodes employées avec les chevaux de compétion à haut niveau sont ignobles, et ce dans toutes les disciplines. Fils électriques sur les barres à l´entrainement (on lève les papattes), anesthésie ou pire, nerf de la queue sectionné (exit le fouaillement), gingembre dans l´anus lors de présentation de chevaux arabes (fier, le port de queue)... Et tellement d´autres encore. L´encapuchonnement à outrance, pour un non averti, peut sembler bien anodin en comparaison de méthodes plus ouvertement primaires et barbares. Pourtant, l´étude anatomique peut démontrer les dégâts occasionnés, sans parler des dommages psychologiques.

J´aime tout particulièrement l´idée de la commission d´experts, sous réserve que ceux-ci soient choisis avec soin (il est en effet très facile de faire dire ce que l´on veut à une étude, si on a décidé par avance de l´orientation des résultats).

En agissant, aurait-on peur de faire fuir le public et les principaux acteurs de la filière ? Probablement. Néanmoins, les autorités seraient à coup sur gagnantes si elles choisissaient de faire place nette avant que des voix telles que celles d´Allège, relayées par d´autres de plus en plus nombreuses, ne les y obligent, en les décrédibilisant au passage.

Bien cordialement

(par Hélène)