Chevaux et cavaliers en temps de guerre
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ah bon et Bourgelat , il a fait du yaourt toute sa vie ?
Il n'a pas tout expliqué ? , l'ossature , les bras , les épaules , la colonne vertébrale , les effets de levier , les assymetries ? les allures , le manège , le pourquoi , le comment ?
Au moins monsieur Oliveira que vous avez connu , avait la sincèrité de dire qu'il avait beaucoup parlé de l'épaule en dedans , tout en l'ayant tres peu pratiqué , sauf de manière discontinue , à savoir à l'inverse du savoir faire et de l'esprit des anciens ...
Je ne vous ai parlé aujourd'hui que de la définition des aides, je vous laisse le yaourt, il est déjà bien mélangé...
Quant à Oliveira, si vous croyez qu'il a pu déclarer avoir peu pratiqué l'épaule en dedans, vous êtes en plein délire (et je ne vous parlerai pas de sa pratique équestre, j'en reste à ses déclarations supposées).
tout simplement informé ...
TP
La Guérinière a écrit son ouvrage pour décrire les moyens qu’il fallait déployer pour arriver au but que recherche tout cavalier digne de ce nom, rassembler son cheval afin de le mettre dans la main et dans les talons:
Vous avez une culture équestre très limitée pour prétendre une chose pareille. L'équitation non rassemblée existe et à raison.
Au fait, dans vos dernières interventions, au sujet des Anciens, de la guerre et des sauts, je crois que vous avez oublié les sauts d’école, une cabriole bien réussie, n’a rien à envier au passage d’un oxer de 1,50 m ou 1,60 m, bien carré.
Vous n'avez pas compris pourquoi j'ai pris l'exemple du saut.
Plus récemment, siècle dernier, Beudant dressait, courait, sautait avec le même cheval, et plutôt bien, sans problème.
Alors dites-mloi donc pourquoi vous ne trouvez plus personne pour sauter comme lui dans les épreuves sportives...
le probleme Mr Pamphlet , c'est que la Guerinière , c'est une étude de l'épaule en dedans , donc suit la main suit les jambes , tout ce que vous voulez , mais dans l'épaule en dedans ...
une fois encore , vous pouvez ré-écrire la Gueriniere puis qu'il n'a pas jugé utile de re-expliquer que son traité était un traité de l'épaule en dedans , et qu'il ne pouvait pas savoir dans quel état d'oubli tomberaient les traditions equestres qu'il observait et comment elles seraient interprétées à partir du 19 siecle , mais vous ne reecrireez pas Newcastle ...
Sincèrement Mr Pamphlet , ne vous enervez pas , c'est parfaitement inutile ,
si vous voulez suivre la route de ceux qui vous disent que la Guerinière n'est pas une étude de l'épaule en dedans , que la flexion du rachis est chose négligeable , et ils ont été particulièrement nombreux dans l'histoire de l'équitation et particulièrement estimés de leurs temps , Mr Baucher étant un des plus célebres d'entre eux , Mr Oliveira en étant un autre , vous serez dans le wagon de Monsieur Tout le monde à continuer à perdre son temps , mais n'essayez pas de convaincre en pure perte ceux qui se sont extraits de la confusion ...
donc comme disait Mr le commandant de Montjou à Mr Wattel , mon ami commencez déja par mettre votre cheval droit , et donc lui mettre l'épaule en dedans ...
Théophile Pamphlet
vous avez raison sur un point , le travail gymnique de Newcastle vient d'observations à partir de l'utilisation du pilier unique qui permettait de tenir la tete et les épaules du cheval vers le centre ( Newcastle disait tête dans la volte ) et la croupe échappée , sauf que Newcastle c'est habilement passé du pilier unique et en cela il a donné plus de puissance et plus d'efficacité au moyen , en effet .
et tête dans la volte , ce déplacement ou la tete et les épaules sont à l'interieur , et la croupe échappée , par la flexion des côtes quelle induit assouplit beaucoup un cheval ...
et si vous etes un peu habile , la theorie de la tete de la volte suffit tout à fait pour dresser correctement les chevaux sans le recours à la leçon de l'épaule en dedans de la Guerinière ... parce que , une fois la tete dans la volte , les épaules sont suffisamment bien positionnées sur la piste interne pour permettre au le cheval de pouvoir correctement engager son posterieur du dedans , et ployer utilement son dos ,
pour peu que ayez suffisamment de sentiment pour sentir quelle est la correcte disposition des épaules à donner au cheval une fois qu'il a la tete dans la volte ..
Et vous avez raison de dire que le moyen décrit par la Guerinière est plus limité , que celui initialement décrit par Newcastle .
Hervé, vous n’allez pas me la faire à l’Olivier, épiloguer sans cesse sur des points de détails que vous n’avez pas compris …
Expliquez moi donc ce que je ne comprends pas...commencez donc par la position à l'obstacle...
On attend avec impatience l'exposé et le développement de la théorie des aides stricto sensu et de leurs relations avec les aides largo sensu, théorie que ce béotien de La Guérinière n'a pas jugé utile de nous exposer, ni aucun autre auteur à ma connaissance.