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Engagement des postérieurs

76 réponses [Dernière contribution]
upwelling
Déconnecté
Inscrit: 23/11/2011

 certains parlent de main  " passive "

néammoins si on recherche à ce que le cheval engage , à savoir qu'il étende bien son membre posterieur lors de la phase dite de projection , il faut que qu'il fasse la meme chose avec ses membres anterieurs , à savoir qu'il ait un bon geste de l'épaule en avant ( confer les quatre mouvements de l'épaule selon LG) 

la main passive oui , mais avec le contact sur les deux rênes , ce que l'on nomme - si je ne me trompe pas-  le cheval relativement droit  , parce que par le soutien de la main , vous aidez à ce que le cheval prenne le temps suffisant pour étendre son épaule en avant et ne revienne pas précipitamment à la phase dite de poser 

 

tenduba
Déconnecté
Inscrit: 29/09/2011
la main passive oui , mais avec le contact sur les deux rênes , ce que l'on nomme - si je ne me trompe pas-  le cheval relativement droit  , parce que par le soutien de la main , vous aidez à ce que le cheval prenne le temps suffisant pour étendre son épaule en avant et ne revienne pas précipitamment à la phase dite de poser

vous croyer que le cheval à besoin de votre main pour lever les pattes?

upwelling
Déconnecté
Inscrit: 23/11/2011

 vous , en tous cas , cette idée n'a pas l'air de vous séduire ... 

 

FARNAULT Philippe
Déconnecté
Inscrit: 25/07/2006

 Bonjour,

" ... que le cheval prenne le temps suffisant pour étendre son épaule en avant et ne revienne pas précipitamment à la phase dite de poser. " Upwelling

Parlez-vous d'un éventuel retrait de l'antérieur avant qu'il ne se pose ?
Retrait que vous gêneriez en quelque sorte avec la main pour qu'il ne se produise pas... Est-ce possible ?

Si c'est le cas (on dit que le cheval tâtonne...) cela vient d'un défaut d'engagement des postérieurs.  
Et lorsque les antérieurs avancent de trop par rapport aux mouvements des postérieurs : " le cheval promet devant plus qu'il ne peut tenir derrière ".

Pour revenir à l'exemple de La Guérinière, le cheval ne peut bien avancer ses épaules que si les postérieurs sont libres d'entrer sous son corps, le parallélisme étant réel.  

Amicalement.

upwelling
Déconnecté
Inscrit: 23/11/2011

je suis tout à fait d'accord avec votre remarque , par l'appui sur la main au trot on permet au cheval de mieux étendre concommitamment posterieur et anterieur lors de la phase de projection , et on a le double benefice que le posterieur vient plus loin sous le corps du cheval ( ce que dit Paul Plinzner)
et le geste de l'épaule s'étend en avant également ,

mais le premier benefice - je trouve pour ma part - qu'on le sent dans le fait que se dénoue en premier lieu le geste de l'épaule , parce que le cheval est moins pressé d'aller vite chercher son appui au sol .. un cheval qui étend bien les membres - il se décontracte , prend confiance en lui et dans la main 
il vient chercher l'appui sur la main avec confiance ... du moins c'est comme cela que je le vois ... 

 

Christopher Cunningham
Déconnecté
Inscrit: 24/06/2007

Les remarques d'Upwelling me semblent pertinentes. Mais Dieu! Que ces pseudos sont agaçants!

Tout un chacun peut faire la double expérience suivante, tranquillement au pas, sur un cheval dans l'activité et un tant soit peu catéchisé:

1) Mains très proches l'une de l'autre, porter doucement les deux mains vers la droite pendant la phase aérienne du sabot antérieur droit et réciproquement.

2) Mains très proches l'une de l'autre, porter doucement les deux mains vers la droite pendant la phase d'appui du sabot antérieur gauche et réciproquement.

Si besoin de regarder, renvoi au débourrage du cavalier, pour les autres, sensations et réflexions. Rien de nouveau, c'est du Decarpentry, tout bêtement.

***

En parlant du général, et d'un autre sujet crucifiant les enseignants, je ne comprends pas que l'on range les deux premiers effets de rêne dans une galerie sombre du musée des arts premiers.

Miel d'abeille! Au chapitre "Assouplissements"  (magnifique exemple d'un bauchérisme raisonné et modéré greffé sur un tronc classique), le cuistot de service nous invite à goûter la flexion latérale directe et la flexion latérale contraire (associées à la gymastique du rein). Le dessert étant la mise en main, simple détail.

Remontons à la surface (upwillons) au moins les deux premiers effets de rêne, pour les trois autres, je manque de courage.

Christopher