le pas compté
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mais qui n'amène pas grand chose au travail du cheval
"Le pas d'école revêt diverses formes" comme le dit Oliveira donc inutile d'opposer les différentes formes de cette allure. N'importe quel ibérique avec des ressorts souples le donnera sans aucun difficulté , ils ne savent faire que ça, un haflinger par contre sera plus à la peine, même entre les mains de votre prof/ami.
On évoque les Anciens, soit, mais alors quels sont les textes qui en parlent ? car même La Guérinière ne parle pas de digonalisation, en survolant le pas d'école pour l'opposer simplement au pas "de campagne".
Donc rien sur la diagonalisation du pas chez LG, rien chez Dupaty de Clam, rien chez Thiroux, rien chez Pluvinel, rien chez Newcastle ...
je l'ai lu, plus d'une fois, mais étant dans le sevrage de Bayo, bien plus intéressant et urgent pour moi que le pas d'école, je ne peux pas chercher en ce moment ! mais j'y reviendrai ! :)
C'est intéressant Cat, merci. En gros, à part Oliveira qui évoque les anciens sans donner aucun nom tous les textes s'accordent pour dire que le pas doit rester une allure à 4 temps, sinon ça devient du trot marché (Raabe). Pas étonnant qu'il n'y ait que certains oliveiristes qui restent attachés à cette "chose diagonalisée".
Raabe parle en effet de "cette chose diagonalisée" qu'il nomme "marquer le pas" (source : la méthode de haute école de Raabe par Decarpentry.)
Et il ne doit plus rester beaucoup d'Oliveiristes puisque personne ne semble connaitre cette "chose diagonalisée" ! :)
Et il ne doit plus rester beaucoup d'Oliveiristes
Plus beaucoup je crois ;-) En tout cas plus un seul Oliveira dans ma bibliothèque, on se sent plus léger :-)
pourquoi ce demi tour devant Oliveira, si ce n'est pas indiscret ? :)
Que lui reproches tu ?
Je n'ai rien contre Oliveira, ni aucun autre. C'est l'équitation qui ne me fait plus du tout vibrer. J'évite de monter, c'est une corvée, et quand je le fais c'est uniquement par devoir (jeunes chevaux dont il faut s'occuper) et plus par plaisir. Je trouve tout cela sclérosant et assez abrutissant. Et la littérature équestre me barbe, j'ai tout vendu et sans regret.
A ce point la ? Mince, je savais pas.
J'ai un peu de mal à comprendre (désolé): vous parlez de diagonalisation au pas compté alors que Jacques qui cite Racinet n'en parle pas du tout.
Le pas compté est-il juste un extrême ralentissement du pas ou est-ce ce pas diagonalisé prélude au piaffer ?