Monsieur Maurel : Ligne de dos

Après relecture :

Il faut observer le modèle pour y trouver les éléments favorable au travail dans une discipline donnée.
Chaque cheval à ses qualités propres et ses défauts aussi.

le travail ne permet que le développement des capacités pré-existantes. Les angles articulaires évoluent très peu, la souplesse est innée.
ex. Un humérus horizontal le restera, ce cheval sera sur les épaules et aura beaucoup de mal au rassembler.
Certains rares cavaliers très expérimentés peuvent, par un long travail adroit et bien mené, prouver le contraire.
Mais attention, ce n'est pas donné à tout le monde et je rencontre beaucoup de personnes déçues dans l'impossibilité de sortir des ornières.

Bruno

Merci beaucoup à Bruno de ces précisions, qui me conviennent d'autant mieux qu'il s'agissait bien d'un document succint, et destiné au grand public, donc forcément sommaire .
Je partage en particulier sa remarque fondamentale : l'évaluation de la qualité du modèle en général, et de la ligne de dessus d'un cheval en particulier, est forcément liée à sa fonctionalité, donc l'examen doit être d'abord dynamique avant d'être statique ; seuls de très grands experts peuvent sentir "au tableau" la qualité d'un modèle ...