L'assiette, toujours l'assiette...
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Bonjour à tous.
Liberté ?
2 êtres vivant, l'un, le cavalier responsable de l'autre, le cheval.
Les aides :
il s'agit d'un langage tactile inventé par l'homme afin de communiquer avec le cheval. Changer sans cesse de vocabulaire c'est le meilleurs moyen de générer et entretenir la confusion dans l'esprit du cheval ce qui est contraire à son bien-être moral avec toutes les conséquences qui en découle. Si adaptation il doit y avoir cela doit se faire par les nuances (intonation).
Quant à la prédominance d'une aide par rapport à une autre ?
A Hervé et à Pierre :
-Peut-on considérer que la base de la formation du cavalier est d’apprendre à coordonner l’utilisation de ses jambes et de ses mains ?
Oui, et c’est ce que l’on voit et entend dans les clubs. Mais ce ne peut être suffisant comme relation, en considérant que la sensibilité du cheval (supérieure à celle de l’homme ou du moins parce qu’il s’en sert mieux) mérite bien que le cavalier en prenne conscience autrement. Je pense à l’assiette bien sûr.
D’un autre coté et d’un point de vue commercial, si l’objectif est de vendre le cheval, il faut que celui-ci sache le plus simplement du monde obéir aux jambes et aux mains pour qu’il soit « utilisable » facilement. Ce serait donc tout de même une base à conserver pour faciliter son utilisation par beaucoup de cavaliers. Je pense en particulier au jeune cheval.
-Cette formation initiale du cavalier doit donc pouvoir évoluer et permettre ensuite « d'obtenir en douceur certaines choses avec "l'assiette" » (Hervé). Le sentiment du toucher au niveau de l’assiette ne peut que se développer avec l’expérience. Et à mon avis, ce sentiment ne peut être isolé de la notion de légèreté des aides habituellement utilisées, jambes et mains. Je veux dire que les « facilités » acquises au niveau de l’assiette sont une « base solide » et utiles à la légèreté des aides à cheval.
Pierre, est-ce que je bouscule la hiérarchie due à la bonne main en écrivant ceci : La « fesse intelligente » enlève la vedette aux mains et aux jambes en les obligeant à la discrétion.
(J’en profite pour citer Hempfling : « Le mot aide est un mot sensationnel, pourquoi est-il si souvent mal compris ? »)
Maintenant, sans me contredire, concernant le jeune cheval, considéré « peu avancé », je pense comme vous Hervé qu’« il est préférable d'utiliser l'assiette » et qu’il est normal de maintenir cette relation avantageuse pour la légèreté tout au long de son éducation –pourquoi s’en priver ? L’ayant pratiquée j’ai remarqué (avec surprise) qu’un jeune cheval évoluait très vite et même plus vite que l’homme s’il n’y prenait garde. La démarche est difficile parce que le cavalier est obligé de maintenir constamment le même niveau de relation ensuite…
Je ne vais pas forcément dans votre sens, c’est pour cela que j’écris ce qui précède selon mon humble avis et amicalement… Bye.
Bonjour à tous.
Désolé, je ne comprend pas votre message.
pierrex
Pierre,
En fait, je pense plutôt n’avoir pas compris votre intervention du 2007/09/17 10:57.
Veuillez m’excuser et considérez ce que j’ai dit précédemment comme un soliloque. Je n’ai que cela à offrir.
Et si vous le voulez bien : amicalement. Bye.
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A Ch. Cunningham,
« Lorsque un homme… s’asseoit sur un cheval sans selle, il adopte automatiquement une position… : son buste est légèrement penché en arrière, le dos légèrement arrondi. Le bassin est légèrement basculé… C’est la position la plus naturelle et la seule qui soit correcte. La tenue ferme mais décontractée (du corps)… » « …efforcez-vous de trouver la position de base correcte en ayant le dos droit ou légèrement arrondi. » K.F. Hempfling
J’ai été agacé par cette phrase pour laquelle je n’ai aucune sympathie : « Voilà donc un livre où, à mon humble avis, le meilleur flirte avec le pire », et je m’en suis déjà remis. Amicalement. Bye.