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sos dieteticiens!

16 réponses [Dernière contribution]
Bruno dLB.
Déconnecté
Inscrit: 24/11/2007

Je me sens obligé chère Nicole de relever votre définition qui me paraît trop restrictive.
L'extrait de pépins de pamplemousse est surtout un bactéricide, virucide et fongicide puissant tant en usage interne qu'externe.

Il permet principalement le rééquilibrage de la flore intestinale et gastrique et le traitement des mycoses.

je possède aussi de test comparatifs sur des toux d'origine virale (antérieurement traitées sans succès aux antibios) traitées aux pépins de pamplemousse guérison sous 8 jours. lot de cinq chevaux tous âges)

Pardonnez-moi d'ajouter ce grain de sel.
Cordialement, bruno

 

Laurence
Déconnecté
Inscrit: 04/09/2008

Merci Bruno DLB pour votre réponse. J'avais compris pour les extraits de pepins de pamplemousse que c'était en traitement. Maintenant, je sais que ça peut-être aussi donné en prévention.
Pour le reste, j'ai beaucoup lu les interventions sur le sujet des grains germés et j'y ai beaucoup appris. Merci

france
Déconnecté
Inscrit: 06/03/2007

Piotr et Bruno, puisque vous êtes pour les aliments "naturels", une question : est-ce qu'on peut faire un parallèle entre une alimentation de plus en plus industrielle et la fréquence des coliques ?

Bruno dLB.
Déconnecté
Inscrit: 24/11/2007

Merci Piotr, j'ai bien reçu.....

Et puisque mon GP est appelé à la barre, voici : en 1906(?), achetant sa jument arabe chez un bédouin, celui-ci lui recommanda de la nourrir qu'avec des fleurs : belle allégorie !
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La question est à deux tranchants !
Elle est bien posée mais ne me convient pas sous cette forme. Car je n'ai aucune statistique pour répondre et il me semble qu'il n'y ait pas plus de coliques avec une distribution d'aliments industriels.
Pour moi la question de l'aliment industriel concerne plus l'état de santé des sujets que les cas de crises aiguës de colique.
Une maladie commence toujours par un état de fatigue générale (incubation) pendant lequel, on cherche à savoir ce que cela couve .... et quelques jours plus tard, c'est l'éruption.

Les aliments industriels doivent contenir au moins des anti-oxydants, pour assurer leur conservation chez le client. Ces anti-oxydants évitent les développements bactériens et les dégradations dans les sacs (ce qui en soi est une bonne chose), mais les complications surviennent lorsque ces effets se produisent au niveau de la flore intestinale chez le cheval. Une bonne digestion est le bilan entre la mangeoire et les crottins. Ces transformations sont le résultat de l'activité enzymatique de la flore. Plus la bonne flore est active, meilleur est ce rendement.
On rencontre de plus en plus de maladies (voir les vaccinations obligatoires et l'activité des véto) donc de chevaux malades, obèses, nerveux ou débiles. Régulièrement, il m'arrive de remettre ces malheureux sur pieds en commençant par revoir le régime et surtout la qualité des aliments. L'idée directrice est la reconstitution de la flore intestinale cause première de vitalité.
Les chevaux ont des exigences alimentaires propres et saisonnières. Lorsque le cheval se nourrit, il se choisit son repas. Ce n'est pas le cas à la mangeoire est moins encore avec un aliment industriellement reconstitué à partir, souvent, de plusieurs dérivés alimentaires à bas prix.

Comment manifester de l'entrain avec la fatigue?
Une mauvaise alimentation ne rend pas directement malade mais affaiblit et ouvre les portes aux maladies.

PS.
Comme l'élevage de mauvais chevaux à fait naître les enrênements; la fabrication des mauvais aliments fait produire les mashes et les floconnés. Les chevaux n'en demandent pas tant.
Cordialement, bruno

Message édité par: BLB, à: 2009/01/26 22:01