Fonctionnement du mors
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Questions à Denis.
Si je souhaite conditionner un animal à sortir de la cage dans laquelle il est enfermé, faut-il
(1) Que j'ouvre la cage ?
(2) Que je compte uniquemet sur l'ouverture de la cage pour le faire sortir ?
(3) Que je l'incite à sortir en plus d'ouvrir la cage ?
Censuré sur le sujet ”Quelle drôle d’idée”, donc…
Oui le licol fonctionne de la même façon qu'un mors.
Je le préfère au mors (pour ce que je fais) car lorsque je ne demande rien il est pour ainsi dire comme un vêtement pour le cheval.
Je ne dirais pas que c'est la gêne ou la douleur qui est l'outil de communication.
Cette gêne (évitons la douleur si possible) n'est effective que lors de l'apprentissage et pour maintenir la qualité des réponses.
Il est possible aussi de maintenir la qualité des réponses par du renforcement positif.
En dehors de ces cas les aides ne provoquent aucune gêne car c'est la version la plus légère de l'aide qui est utilisée.
Le cheval apprend les aides les plus légères par un conditionnement classique.
Les aides sont différentes non par la gêne qu'elles occasionnent (je n'ai pas bien compris ce que vous vouliez dire) mais par la nature des stimuli.
Non seulement les jambes sont différentes des mains, mais le cheval peut discriminer entre différentes actions des jambes ou des mains.
Lorsque le cheval est conditionné il est possible d'employer les aides avec une forte intensité si cela est nécessaire SANS provoquer de peur.
C'est pour cela qu'à mon avis le renforcement négatif est incontournable car il permet de garder le cheval sous contrôle quelque soient (dans l'idéal) les stimulations extérieures.
Lorsqu'on utilise une aide de forte intensité elle monopolise l'attention du cheval qui oublie le reste. Ce processus est appelé overshadowing.
C'est aussi un très bon moyen de désensibilisation.
Je suis sincèrement très curieux de savoir comment vous évitez l'utilisation du renforcement négatif.
Il y a qlq chose qui m'échappe ...
Pourquoi tout ce blabla pour juste en fait parler du language des aides qui sont ultra connus ..depuis la nuit des temps ...depuis que l'homme est monté sur un cheval par tout cavalier qui se respecte .. et encore ici on ne parle que du fait qu'une action entraine une réaction et que le cheval assimile et qu'il s'affine au fur et a mesure de la comprhésion .. brèf vraiment du basique ...
tout est venu parceque ironiquement Upwelling vous as dis ne pas connaitre le fonctionnement du mors ??? et que vous avez cru ???
et ben ....
le dressage ne S'ARRETE PAS qu'a la comprhésion du languages des aides par le cheval , car ce ne sont que des outils de communication (mains jambes corps mors licol etc etc ) après il faut savoir quoi faire avec toute ces aides et quand ... assouplir voir ou se situe le problème etc etc ...si on ne s'ARRETE QU'A .. . je mets une pression sur une renne cela entraine une pression sur les levres du cheval qui cède ou pas etc .. ben on va pas très loin ...
Il semblerait que plusieurs choses vous échappent en fait.
(1) La raison de tout ce'la se trouve dans les différentes interventions des uns et des autres.
(2) Upwelling n'a admis ne pas connaître le fonctionnement du mors que parce qu'il n'a trouvé que ce moyen, qu'il voudrait ironique, pour ne pas repondre a ma demande de nous expliquer comment selon lui le mors fonctionne, puisque pour lui le mors n'exerce pas de pression dans la bouche du cheval.
(3) Ce blabla n';est pas aussi basique que vous semblez le croire puisque vous faites un contresens en parlant d'action - réaction.
Le conditionnement operant dont il est question n'implique pas de réaction mais au contraire une découverte par le cheval de la bonne réponse, après des essais et des erreurs.
PERSONNE N'A DIT QUE LE DRESSAGE S'ARRETAIT LA.
MAIS LE SUJET EST LE FONCTIONNEMENT DU MORS !!
Bonne question, Daniel
On y gagne au moins un approfondissement de notre connaissance de l'anglais :-) au cas où on en aurait besoin
Hervé, vous aussi vous aimer chercher les problèmes ou il y en a pas ... je ne m'arrete pas à Action=réaction .. c'était pour simplifier ...
c'est pas vous qui avez dis à Olivier : qu'il ne s'attachait qu'au mots et pas sur le fond ... vous venez de faire exactement la même chose ...
ceci dit :
Le conditionnement operant dont il est question n'implique pas de réaction mais au contraire une découverte par le cheval de la bonne réponse, après des essais et des erreurs.
ce n'est qu'une autre facon de le dire ... "La découverte de la bonne réponse" .. et c'est quoi ??? c'est bien une réation à votre "conditionnement opérant" non ... .
et moi je dis que le dressage du cheval ne s'arretes pas "A la réponse du cheval à un conditionnement opérant" .. mais un ensemble de choses il faut assouplir il faut sentir ou se situent les problèmes et faire les exercices adéquat pour y remedier , savoir quand agir ou pas .... etc etc
il vous echappé aussi que je repondais à Theophile.
personne ne vous a demandé de vous en meler que je sache.
ce n'est qu'une autre facon de le dire ... "La découverte de la bonne réponse" .. et c'est quoi ??? c'est bien une réation à votre "conditionnement opérant" non ... .
Ben non justement..La difference existe dans les faits et pas seulelment dans les mots.
Attention vous allez me forcer à pondre un nouveau blabla dont la raison echappera a un autre quidam...qui viendra m'agresser a son tour...
Question à Upwelling
que j'ai posée plus haut mais peu importe , je considérais une conception de l’appui-contact : un appui qui permet au cheval de s’organiser, de développer sa locomotion en remontant la base de son encolure , son dos , ceci sans se contracter, qui permet la perméabilité, le demi arrêt qui met sur les hanches,C'est un appui-contact mesuré et agréable au cheval .
Est-ce que déjà cette conception correspond à la manière classique (LG , Steinbrecht) ?
et cette conception est elle compatible avec les brides puissantes de l'époque ?
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