De la main
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ça n'est sans doute pas aussi simple, ne croyez vous pas cher ami ..... disons que les infos dans les divers messages ci dessus sur le juste appui et ses variantes sont une base de travail pour avancer : sur le sens des mots tout d'abord, puis sur la définition des concepts équestres ensuite, et enfin sur leur déclinaison pratique, pour associer des sensations aux réflexions .... donc le champ d'investigations est large !
Théophile, dedans non, ni comme ci ni comme ça
juste en marge ainsi qu'il convient à un modeste observateur ;)
Theo la defintion de l appui par Plinzner n est elle pas exactement celle que France a donnée ? je crois bien que oui :))
Bernard fait son job de modérateur "Honoris causa". Et se doit d'être synthétique. Et c'est bien.
Entre un steack de Selle Français dont on pourrait, à tort, croire qu'il à de la force,
un barbe increvable qui ne ressemble à rien,
un Pur-sang pété de sérieux, un anglo tortillard, un mérens ventru, un ibérique qui ne retrouve pas son passeport, un frison qui se demande ce qu'il fout là, et enfin le raton-laveur d'astreinte...
... mettre tous ces messieurs droits dans un "pas / trot / pas" sur la ligne du milieu relève d'une difficulté qui me semble aller bien au-delà des considérations de nuances d'appui (dans un premier temps).
Un gars connu a écrit un jour: "Autant de méthodes que de chevaux".
Il n'a pas dit "philosophie" ou "école".
Il a bien dit: "Méthodes".
A-t-on encore ici le droit de se fourvoyer, afin d'apprendre?
Christopher
Théo, Robichon comme Steinbrecht parlent d appui et et de main, c ' est normal non?
Par ailleurs, on aussi trouve chez les baucheristes les resistances de la main , avec si on veut bien lire autrement qu avec des lunettes roses, les memes graduatioins que chez Steinbrecht, et les attaques d eperons avec les memes acces d agressivité que chez Steinbrecht ...
Chercher la legereté dans " gymanse du cheval" est bien plus fructueux.......que chercher les eventuelles traces de violence , parce qu alors pour faire bon poids il faudrait les chercher chez les baucheristes...cela ne grandirait personne !
Concernant les éperons, Baucher a écrit, mot pour mot, la même chose que Steinbrecht ; il fallait que ça saigne.
!
Cordialement Serge