de l'eohippus à l'equus

tres interessant, bien que tres novice sur ces questions, je vois ainsi mieux comment faire le lien entre vos differents ecrits..

Il est effectivement très compliqué de communiquer dans ce domaine car on est vite catalogué et cette aventure a mauvaise presse car pas comprise ni connue.

Ne rentrant pas dans les grilles conventionnelles, les quiproquos deviennent vite explosifs.

La technique consiste à écouter et à suivre la nature pour agir à ses côtés en respectant ses lois : passionnant et à la portée de beaucoup.
Il faut entretenir la bonne physiologie plutôt que de traiter une pathologie et mieux encore avoir une démarche eugénique.

Lorsque les pièces du puzzle s’assemblent, c’est que la donne est bonne. Mon laboratoire, c’est mes chevaux.
C’est un domaine où tout est à refaire car le cheval est en effet différent de l’homme.
Certaines pathogénésies le prouvent et des pathologies le confirment.
Le cheval sera toujours une noble conquête pour tous les hommes.

Ce doit être vraiment magnifique de posséder tant de connaissances.

"ah" dites-vous Bruno...what did you expect ?

trève de plaisanterie, le lien entre vos divers écrits est effectivement plus clair maintenant

on est vite catalogué et cette aventure a mauvaise presse car pas comprise ni connue.

oui si on se contente d'affirmer
mais non si on explique...et pourquoi ne pas le faire puisque "ça marche" ?

C''est le salaire de tout géni Bruno ! je vous soutiens de tout coeur !

 le boxe est une technique de stabulation qui nous vient de l'Angleterre ou les chevaux - même dans les meilleures écuries - avaient malgré tout un certain nombre de problemes articulaires , qui faisaient que la stabulation en stalle leur était pénible 

sur le continent - dans les meilleures écuries -  on travaillait les chevaux avec plus d'approfondissement des leçons d'école
et la stabulation en stalle était une norme ... mais les chevaux étaient travaillés avec plus de leçons de flexion de l'épine dorsale
et donc bien plus libres d'épaules et de jointures ...

comme le manège à la française à regréssé ,  le boxe est devenu une norme et les stalles ont quasiment disparu , mais elles n'était pas un mal , elles étaient une vérité dans un contexte , celui ou on rentrait au manège au passage l'épaule en dedans ...  

le manège à la française , c'est l'art de délier les jointures , pour reprendre une formule de Bourgelat ( pour information Bourgelat à publié ...) 

si on s'amuse à faire une comparaison , le bon dieu en passant de l'heohippus à equus , comme il est tres bien dit dans le sujet de ce post ( bravo) ... 
le bon dieu lui aussi a quelque peu délié les jointures dans ce processus évolutif , si je ne commets pas d'erreur ,  il les a simplifié et les a rendu encore plus mobiles ... 

détracteurs bienvenus ... je n'ai pas publié , juste cliqué ... 

"ah" dites-vous Bruno...what did you expect ?

Une proposition …..

(je plaisante à mon tour.)
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Voyez (supra), on condamne et juge ensuite. Ainsi, pas d’erreur possible.
Mais, "Président Maurel" n’est pas loin……

Si je parle librement en expliquant, on me taxe d’affabulateur.

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Upwelling

Pour l’usage du box, c’est une commodité mise en pratique en France vers 1850 avec l’élevage des PS. (haras du Quesnay, haras du Pin)
Pour compenser les carences (de la bonne herbe de Normandie, faite pour les bovins) les chevaux (les mieux soignés) recevaient au box une ration alimentaire contrôlée, des soins vétérinaires et sanitaires, une surveillance et pouvaient profiter d'un sommeil profond sur une litière sèche.
Cette "méthode" s'est généralisée à tous les élevages. Par effets de mode, on essaie de démontrer hors "randomisation" que la vie en totale liberté est incontournable.

Le pré, devenait de plus en plus la cour de récréation pour que les poulains jouent, éprouvent leurs forces et leur vitesse tout en déliant leurs jointures.
Quant aux poulinières, elles apprécient la pointe d'herbe et se réchauffent le dos au soleil blafard.

Cher Monsieur ne parleriez vous pas du boxe dit " à l'anglaise " ? ,

parce que pour le boxe dit " à la française " , je crois que la question trouve son origine dans le commerce des chevaux aux épaules prises d'Angleterre ( réformés de courses de plat ou réformé des chasses)  ( et rachetés à petit prix ) qui est une vieille activité , on en trouve trace des le 17e siecle , on les remettait d'aplombs , on les revendait avec un bénéfice ...... , Gustav Steinbrecht le faisait pour son compte , mais le phénomène est - je crois - bien plus ancien ... ( sauf de me tromper ...)

Je dois rappeler qu’à cette époque (1880-1920, l’élevage souffrait
— d’un taux d’avortement alarmant,
— d’une sélection aveugle (emploi de l’étalon "maison"),
— d’une infestation de vermines,
— de croissance défectueuse,
— de fécondation incertaine,
— de troubles pathogènes,
— d’ostéite, septicémie,
— (liste non exhaustive)

Tous ces fléaux avec des poulains élevés en plein air !
comme s’il s’agissait d’une recette.

Les poulains les mieux nourris, les mieux soignés (donc chez les éleveurs avertis, ceux qui pouvaient voyager et comparer) avaient des performances.