Travail de bureau...
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Juliette,
le fait que vous ayiez pris de votre temps pour visioner un peu les films montre que vous ne voulez pas vous battre, mais...
vos attaques concernant plus la personne que la technique prouvent aussi le contraire.
à votre décharge -et puisqu'il faut perdre du temps avec ces trucs là- vous n'avez peut être pas lu ce que m'a écrit Grégoire.
Il m'avait écrit des choses interessantes mais aussi que "je n'avais aucun résultat arrivant à la cheville de ces cavaliers".
Ah bon.
N'y a t'il que les médailles recues qui comptent pour parler de "résultats" en équitation.
Perso, et pour l'avoir vécu en vrai de vrai, je sais que ces cavaliers ne s'en sortent pas si facilement avec des chevaux n'apportant pas, dés le départ ou rapidement, un potentiel aussitôt exploitable.
MAIS, j'ai écrit ceci:
ces cavaliers changeant leur selle ergonomique contre une comme la mienne + changeant leur facon de faire contre la mienne...: il n'est pas dit qu'eux n'arrivent pas à faire en 2 jours ce que j'ai fait en trois!
Donc, il ne s'agît pas des égos ici mais bien de complimenter une certaine facon de faire...que je suis en plus bien loin d'avoir inventée!
Bon techniquement maintenant:
bien que votre remarque sur le fait de "qui tire" est formulée comme une attaque (pour quelqu'un dont l'égo ne veut pas rentrer en guerre, c'est pas mal...), cette remarque est tout de même fondamentale! Car elle nous rammène à la base des explications.
Pourquoi?
Il faut toujours être au moins 2 pour tirer. C'est vrai sur le plan dynamique.
Alors, Juliette, dites moi svp, qui tire quand un cheval tire au renard?
(le renard peutêtre ? ;-)
J'ai la main fixe Juliette, la main FIXE !
Bon, j'espère que vous reviendrez quand même car, même si avec vous aussi je suis presque toujours obligée de me défendre, la plus part de vos remarques font avancer le schmilblick. Alors...
vous ne pouvez pas vous comparer à un mur planté dans le sol lorsque vous êtes sur le dos d'un cheval donc forcément dans une dynamique de mouvement(celui du cheval)
je ne crois pas aux vérités absolues immuables , donc pas plus en la panacée de votre main si fixe qu'elle en deviens rigide ?obsessionnelle en tous cas ! ) qu'en quoi que ce soit d'autre , et je pense dommage de découper ainsi en morceaux ce qui ne peut être abordé que comme un tout.
Le travail montré sur les vidéos n'est pas suffisamment convainquant pour illustrer des propos qu'elles me semblent plus déservir qu'autre chose .
Si, j'avais eu le temps de lire rapidos Grégoire ( mais je n'avais pas encore pu visionner les images )
j'ai visionné par curiosité mais manque de temps et de disponibilité pour répondre dans le détail c'est pourquoi j'en reste à ce qui est le plus frappant .
Nous avons pu noter sur une des videos le dialogue suivant:
le cheval se defend et s accule..........
- " il ne sait plus du tout ce qu il faut faire"
- " ben oui, ce que tu fais là , c est ce qu on fait d habitude pour le faire reculer"
répond d' un ton penaud le meneur aux gros bras de la photo ??.........
qu en pensez vous ?
Juliette,
-ma main est fixe comme un mur planté: vérité absolue.
-ma main n' est pas fixe comme un mur planté: vérité absolue.
Donc, pour éviter que vous contredisiez deux personnes: moi et vous-même ...
;-)...parlons de tendances.
-Tendance à être fixe.
-Tendance à ne pas être fixe.
OK?
Biensûr que la dynamique du cheval, quand je suis à cheval, ou en longe, ou à l'attelage (là, c'est mon mari qui s'en charge), m'inclue plus ou moins.
Mais, pas plus tard qu'hier, j'ai fait involontairement l'expérience suivante:
Hier ici, pluie glacée, temps épouvantable. Je devais monter mon Gris. Je le rentre: il est complètement noir...de boue!
Alors, fainéante, je me décide à le faire "travailler" en liberté. Nous avons un sol fait de sable genre Fontainebleau x des morceaux de tissus. C'est un sol que l'on trouve dans les salons du cheval. Un peu humide, c'est un sol ni trop lourd ni trop lerger.
Bref. Mon gris se roule d'abord dedans et s'éponge comme cela, malheureusement, seulement un côté.
Bon, pour l'aider un peu, je lui met des petits tâts de sable sur le dos, du côté humide.
Viens le moment où il part au trot, un trot trés élastique.
Qu'elle n'est pas ma surprise là, quand je voie les petits tâts de sable s'élever légèrement à chaques foulées...et retomber au même endroit sur le dos de mon cheval. Au même endroit et sans se répendre sur la surface du dos, comme je l'avais espéré.
Bon, je ne suis pas un petit tât de sable (sauf en physique quantique peutêtre ;-), mais quand l'assiette est liée au cheval, pourquoi alors serait t'il impossible d'avoir, en mouvement avec le cheval, une main ayant une extrême tendance...à être fixe!??
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D'autre part Juliette, quand on sait que ces chevaux ne se pliaient pas à droite ou à gauche, mais se couchaient littéralement à droite et à gauche, en pesant sur la main et sans dessérer les dents d'un poil, 3 jour avant ces prises de vue...ce n'est rien pour vous? vraiment!?
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"Observer et réfléchir..." E. Beudant.
Vous confondez fixité de la main et main fixe, rien à voir !
La main fixe se met déjà en place à pieds car vous et le cheval êtes 2 masses séparées, donc plus facile.
Encore une fois, la main fixe est une barrière mentale.
Si le cheval n'a pas été éduqué auparavant pour comprendre cette main fixe, cela à pour résultat ce qu'on voit sur vos vidéos.
Tiens, je me suis faite exactement la même réflexion que Pierre, j'aimerais bien avoir aussi votre explication la dessus...
Kickass, je ne discute pas avec vous. Vous n'êtes ici qu'une éminence grise et vos affirmations n'étant pas des questions, elles n'attendent donc aucune réponse de ma part.
Je vous l'ai déjà dis: Baucher, je ne connais pas. Mes lectures équestres se résument à Tintin et Astérix. Donc, allez donner des cours ailleurs!
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Pierre, excusez moi, mais qu'entendez-vous par: "Qu'en pensez-vous?"
Qui pense quoi de quoi dans votre question?
Ce que je peux dire c'est que le Monsieur qui parle est -avec sa femme- le propriétaire -et en grande partie meneur- des chevaux. Ce sont des gens trés courageux et amicaux.
Ils font de plus en plus tout, tous seuls, car ils ont été amèrement décus par les profis à qui ils avaient confiés certains chevaux au débourage ou en formation supplémentaire.
Ce qui se fait -en grande partie, mais il existe aussi des gens conciencieux- habituellement, a cessé depuis quelques temps de les satisfaire et, aprés avoir récupérés certains chevaux -comme celui des clips- à moitier détruits, physiquement et psyschiquement, ils ont fait des recherches pour changer d'orientation équestre.
Alors maintenant, si vous parlez de l'histoire du reculer: personnellement, je n'utilise pas une main active pour le reculer, mais, avant que le mouvement soit déclenché (ébranlement musculaire si vous voulez), ma main se fixe en appuyant là sur le garrot (dans les débuts de l'éducation) et résiste jusqu'à ce que le mouvement (avec appel des talons) se déclenche alors vers l'arrière.
Dés que cela est le cas, je laisse aussitôt filer suffisement les rênes entre mes doigts, pour qu'aucune traction des rênes ne viennent à s'exercer pendant le reculer.
Ce Monsieur avait -comme beaucoup- appris autrement.
Alors dans ces cas là, il est trés difficile, par ex. de demander une flexion directe haute (ou basse) à l'arrêt car là, au lieu de cèder à la demi-tension des rênes, le cheval recule.
Il faut bien se concentrer, rester calme et patient et, en fait assez vite, les chevaux...traduisent.
Bon, si votre intervention ne cachait pas une quelquonque attaque facon "vermine des forums", j'espère vous avoir répondu comme vous le souhaitiez et continuerai à le faire si cela vous intêresse.
cordialement
P.B.
71042
Berthier Pascale écrit:
Alors dans ces cas là, il est trés difficile, par ex. de demander une flexion directe haute (ou basse) à l'arrêt car là, au lieu de cèder à la demi-tension des rênes, le cheval recule.
Il faut bien se concentrer, rester calme et patient et, en fait assez vite, les chevaux...traduisent.
Avez vous déjà essayé d'apprendre au cheval d'abord les flexions de mâchoire puis ensuite le reculer ?
Car connaissant la demande pour les flexions, il ne confondrait pas les 2.
Vous demandez la flexion de mâchoire et de nuque qui devraient être de toute façon un préalable à chaque mouvement puis dans la foulée, en gardant vos doigts serrés sur les rênes, le cheval reculera, s'il ne le fait pas, résistez comme vous l'avez indiqué.
Si le cheval a toujours des difficultés de compréhension, c'est à pieds que l’éclaircissement des demandes devrait se faire.
Qu'en pensez vous ?
Quelqu'un pourrait m'expliquer le principe que j'ai vu chez blondeau de la main qui au contact correspond à la mise en avant ?
De tout ce que j'ai vu la bas c'est la seule chose sensée qui m'ait interpellé, mais étant repartie du lieu presque handicapée, je n'ai pas eu l'occasion de le harceler pour l'obliger à m'expliquer.
En effet ça fonctionne comme ça.
Mais je manque également d'énergie ce matin et je vais m'abstenir de commentaires .
Juste par rapport à vos dires plus haut je vous trouve drôlement prétentieuse dans vos propos dans le "défi" proposé aux cavaliers de haut niveau. Cela frise le ridicule et un peu d'humilité ne nuirait pas à votre travail je pense.
Et juste un petit rappel par rapport à vos propres commentaires de la vidéo sur le site de l'écurie : il faut être 2 pour tirer ( qu'on soit cheval ou cavalier on ne peut tirer sur "rien" ).
Sur ce je sors de ce sujet je n'ai pas envie de me bagarrer avec vous .