Travail et "socialisation" d'un entier

Tous ces témoignages sont fort intéressants.
Le lusitanien en question vit en box, celui ci est séparé du box voisin par un muret et des barreaux, ce qui permet aux chevaux de communiquer et de se renifler( ce que l'entier ne manque jamais de faire avec son hongre de voisin, et ce,le plus souvent "gentillement").
Par ailleurs, le partage de la carrière pose rarement problème, les choses se compliquent un peu plus en manège, selon que tel ou tel individu se trouve présent.
Pour rebondir sur les remarques concernant la finesse des entiers, je ne peux que témoigner de l'intéret et du plaisir que je découvre à travailler avec lui.
Je crois qu'il me faut juste accepter l'idée que toutes les séances ne peuvent pas être parfaites (calmes, décontractées, "justes" dans le mouvement exécuté), et que mon partenaire puisse avoir des émotions.
Je vais ré apprendre la patience, et la rigueur (et me pencher sur ces émotions, des fois que je puisse en dédramatiser quelques unes...).
Béatrice

Voilà qui est plus agréable à lire et donner aux entiers une place qui est la leur. Cependant comme dit précédemment il est des situations qui doivent être anticipées sans que le cheval ne sente que notre attention créé chez nous une quelqconque tension physique ce qui déclenche son inquiétude...

Attention avant que de croiser un autre cheval car lui il l'a repéré et à priori se faire face peut être chez certains perçu comme une position de confrontation.

Attention face aux glaces.

Laisser le chanter; j'ai souvent vu des cavaliers s'affoler ou même "carilloner" comme si cette manifestation était "anormale"..

Ce surcrôit d'attention développe chez le cavalier un plus grand sesn de l'anticipation des réactions possibles.

En épreuve il se peut qu'il est l'oeil attiré vers l'extérieur aussi faut il le solliciter pour dans ces cas là lui occuper l'esprit..

Etc...voilà à mon sens qui rend la monte plus intéressante...Mais observez la photo tout est là...