quelle est la bonne embouchure ?
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Merci Marie, pour le partage de votre sentiment sur la visualisation : comme la récompense elle a sans aucun doute une importance capitale...
"Nathalie a du courage d'essayer de trouver le bon enseignant" Je ne sais pas si on peut appeler cela du courage....Je suis opiniâtre Marie, je sais qu'en équitation compétence riment avec expérience. Mais je sais aussi qu'il existe forcément quelqu'un, de part chez moi, partageant ma philosophie (la légèreté), qui aura une vraie envie de transmettre, et une pédagogie adaptée. Chose que je n'ai pas réussi à trouver jusqu'à ce jour. Souvent on trouve de la technique mais il manque la pédagogie, celle qui permet de ressentir et de faire évoluer.
Je ne serai pas étonnée de trouver cela avec Mr Beaulieu, et je croise des doigts pour que son stage dans le sud aboutisse. Même si je sais que le temps sera limité....
Bref Marie, je ne désesperai pas car je suis certaine que "cet" enseignant me permettra de faire un bon en avant....
Pierre ne vous inquiétez pas j'aime connaître les avis des gens expérimentés, compétents, mais je sais aussi prendre du recul sur ce qui se dit (ce qui n'a pas toujours été le cas) et avoir mon libre arbitre.
Pour en revenir aux éperons je pense que c'est comme dans la vie en général : "user mais non abuser".
Je crois, comme cela a été dit avec l'embouchure, que tout est dans la manière de faire. Aujourd'hui en mettant des éperons je renforce une demande si elle n'est pas appliquée.
"Dés que" : j'arrête et félicite. Comme par magie la fois d'après l'éperon ne sert plus....En revanche pour en avoir fait l'expérience, si l'éperon n'est pas là, la réponse n'est plus là, ou baclée. L'éperon dans ce cas semble servir de garde fou. Le but est de s'en passer pour ces demandes basiques et de le réutiliser par la suite pour des demandes plus pointues...
Amitiés,
Nathalie
pour utiliser des éperons il faut être capable de ne jamais s'en servir et de continuer le travail par le frôlement du pantalon au pas, trot, galop, de 2 pistes ( dans tous les exercices )
c'est beaucoup plus agréable et surtout plus logique que l'action d'un objet en ferraille, même par frôlement
Amicalement Sacha
BRAVARD écrit:
pour utiliser des éperons il faut être capable de ne jamais s'en servir et de continuer le travail par le frôlement du pantalon au pas, trot, galop, de 2 pistes ( dans tous les exercices )
c'est beaucoup plus agréable et surtout plus logique que l'action d'un objet en ferraille, même par frôlement
Amicalement Sacha
On est bien d'accord puisque le but est de travailler dans une économie maxi des aides....
Mais pour en arriver là, avoir eu à se servir de l'éperon comme garde fou ne semble pas incompatible. Encore une fois je reste convaincue que tout est dans la manière, à partir du moment ou l'on se fait comprendre "intelligemment" (avec tact) par notre partenaire...
Non pas besoin de passer par là.
Pourquoi le dresser dans l'inconfort vous allez détruire toutes ses qualités natives et devoir le travailler obligatoirement avec des éperons toute sa vie, ce serait dommmage.
Pour moi le tact est de travailler son cheval dès ses débuts par le frôlement du pantalon et de continuer tout le long du dressage
L'iéal c'est de travailler son cheval dans la légèreté
Non pas besoin de passer par là.
Pourquoi le dresser dans l'inconfort vous allez détruire toutes ses qualités natives et devoir le travailler obligatoirement avec des éperons toute sa vie, ce serait dommmage.
Pour moi le tact est de travailler son cheval dès ses débuts par le frôlement du pantalon et de continuer tout le long du dressage
L'iéal c'est de travailler son cheval dans la légèreté.
Sacha
Message édité par: MichelBravard, à: 2008/08/31 13:37
j'ai l'expériencede mon arrière grand père, de mon grand père , de mon père et la mienne alors faites le calcul .
quand c'est pas nathalie c'est moi donc bonne journée à tous à vous également piotr
cher Sacha vu que votre père est en stage je pense que nous auront de plus complètes explications avec vous alors dite nous à quoi servent les éperons alors ?
ps : n'écriver pas à rien!!!
"Pour moi le tact est de travailler son cheval dès ses débuts par le frôlement du pantalon et de continuer tout le long du dressage"
Sacha, vous avez raison, ça c'est la situation idéale, et c'est que je ferai avec ma pouliche "vierge"...
Mais ce cheval a un passé que j'ignore, les données sont différentes...
Aujourd'hui je travaille avec un instructeur dans le but de sortir en concours. Cet instructeur dont la spécialité est la compétition, est doux et respectueux du cheval. Il m'a conseillé de mettre des éperons pour renforcer ma demande uniquement si le cheval ignore la jambe. Il n'est pas question ici de marteler les flans avec un bout de ferraille.
Pour en revenir à l'embouchure. Voyez vous Sacha, suite à la venue de votre père avec lequel j'ai travaillé un temps, le pelham était la seule embouchure admissible par lui comme "convenable".
Cette embouchure, non admise en concours m'a posée problème car lors de son changement rien n'allait plus. J'ai alors bataillé pour essayer de retrouver les mêmes sensations en filet.
J'ai travaillé 2 fois avec un homme d'un certain age, juge national, qui a après avoir essayé Nocario me l'a rendu en me disant "il faut le rééduquer". (il avait tenté de le mettre en flexion mais le cheval s'était tant défendu à la main qu'il avait renoncé).
J'ai donc continué, seule, avec entre autre les conseils d'Allège qui insistaient fortement sur l'importance de la main mais aussi et surtout sur le travail engendrant cette mécanique du dos et cette montée du garrot (sages conseils).
La semaine dernière avec l'aide de cet instructeur, après la réalisation juste des exercices de lattéralisation et les variations d'allures, j'ai enfin senti mon cheval s'équilibrer et se "compacter" au pas compté, en filet simple double brisure.
Hier j'ai aussi travaillé la méthode de Mr d'Orgeix le report du poids sur l'épaule ext., magique !
Tout ça pour dire que j'ai pu constater qu'en travaillant "juste" le choix de l'embouchure semble en effet être secondaire.
Il me semble d'ailleurs que toute la difficulté pour "ceux qui savent qui ne savent pas" ;-) réside dans le fait de reconnaître le travail juste...
Pour en revenir à la dureté de l'éperon, je serais tentée de le comparer à la dureté de la gourmette du pelham : elle y est mais on ne s'en sert pas, ou avec adresse.
Ne peut on envisager que l'éperon est, selon, un rôle identique?
Nathalie
Message édité par: sambista, à: 2008/08/31 16:01
je rejoins pierre tout est question de tact et puis ne vaut il pas mieux avoir des éperon avec une jambe fixe et discrète qu'une jambe sans eperon mais agressive au flanc. l'éperon devient alors comme le mors un outil de finesse dont il ne faut pas avoir peur.
BRAVARD écrit:
Ben ça fait plaisir !.......(je plaisante)