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de l'eohippus à l'equus

253 réponses [Dernière contribution]
Bruno dLB.
Déconnecté
Inscrit: 24/11/2007

Cher Monsieur ne parleriez vous pas du boxe dit " à l'anglaise " ? ,

parce que pour le boxe dit " à la française " , je crois que la question trouve son origine dans le commerce des chevaux aux épaules prises d'Angleterre ( réformés de courses de plat ou réformé des chasses)  ( et rachetés à petit prix ) qui est une vieille activité , on en trouve trace des le 17e siecle , on les remettait d'aplombs , on les revendait avec un bénéfice ...... , Gustav Steinbrecht le faisait pour son compte , mais le phénomène est - je crois - bien plus ancien ... ( sauf de me tromper ...)

je ne connaissais pas, cher monsieur, cette activité, ni la méthode.
cela ressemble à ce que pratiquait un célèbre marchand de la région de Falaise il y a peu.
je n'avais connaissance que de l'usage du box à l'élevage.

Je m'instruis à vous lire.

 

 

Marit
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Inscrit: 23/12/2008

Et je suis mortifiée de mon ignorance à vous lire Bruno !

 

upwelling
Déconnecté
Inscrit: 23/11/2011

.

 

Bruno dLB.
Déconnecté
Inscrit: 24/11/2007

Les "posts" de marit ont été réécrits ultérieurement pour des raisons qui lui sont personnelles.

A vrai dire, je n'en connais pas les raisons.
————————————

Marit,

Argumentez avant tout. Le reste, n’intéresse que vous.

Certes votre discours est incohérent pour le moins .
Dès l’instant où l’homme a pris le parti de domestiquer les animaux, il les a privés du meilleur, du pire peut-être ? Choix alimentaire, rythme de vie, vie de société, choix et périodes d’accouplement, etc.…

A partir de cette initiative, il se doit de vieller le mieux possible au désordre qu’il a engendré.

Pendant plusieurs années j’ai été stagiaire dans des haras de 100 à 150 poulinières (usines grand standing).

J’ai aussi connu des installations avec abris ouverts. Les chevaux s’y trouvent bien.

il ne faut pas, non plus faire de l’angélisme. J’ai veillé les poulinières des hivers entiers, je ne suis pas mort grâce aux boxes. Les juments ont reçu les meilleurs soins. D’ailleurs, elles sont les seules à ne pas le savoir. Dans certains cas, elles auraient pu mourir dans un coin par instinct.

Je crois qu’il faut tout considérer et adapter selon les possibilités et les nécessités. C’est la responsabilité de l’homme-éleveur.

Sachez nuancer. le meilleur de tous les plans est irréalisable.

 

Marit
Déconnecté
Inscrit: 23/12/2008

Bruno, vous avez raison, et la raison fait que je m'incline devant votre immense savoir.

 

Marit
Déconnecté
Inscrit: 23/12/2008

Bruno,

Vous êtes parmi tous, la personnification parfaite de l'homme de cheval tel que j'en ai toujours rêvé.

 

Bruno dLB.
Déconnecté
Inscrit: 24/11/2007

mais, marit, où allons nous ????

Je vous parle d'une centaine de poulinage, étallés entre février et mai soit parfois trois par nuit.
rien à voir 4 à 5 poulinages dans la saison.
Ce sont les réalités de terrain.
Il est vrai que la monte tardive (temps clair, chaud et calme) profite aux poulains (conditions environnantes favorables). Mais tous ne peuvent nâitre en avril-mai.
Je m'abstiens de développer pour le retour au calme qui semble se dessiner.

Moi aussi, je ressens sensoriellement ......

.......
France attend,
Oui, Chef !
je croyais avoir répondu !

 

Marit
Déconnecté
Inscrit: 23/12/2008

Je vous lis et je ne doute pas de votre sensorialité, exquise et qui manque tant chez les frustres du milieu équestre aujourd'hui !

 

upwelling
Déconnecté
Inscrit: 23/11/2011

 en tous cas pour ma part j'ai appris quelque chose ... que le cheval aurait un semblant de parole , mais fort peu de tête ... 


 

Bruno dLB.
Déconnecté
Inscrit: 24/11/2007
je veille les poulinières au pré et je n'en suis pas morte

Veillez 100 poulinières dehors et vous verrez si la mort arrive.

Je suis bien d'accord avec les principes développés, mais les réalités de terrain ont leurs impératifs, tout n'est pas réalisable.

Ces chiffres sont ce que j'ai vécu, c'est la situation de l'élevage des années 1955-1965 ni n'a pas beaucoup changé, au contraire. Ce n'est pas ce que je revendique.

A partir de ce constat ont émergé les éthologues, découvrant eux-mêmes les chevaux. Pat Parelli fait monter les enchères ! Imaginons ce que serait un éthologue qui ne fasse pas de grandes annonces pour vous dire que vous ne savez pas ce que vous savez ! (extraordinaire)
N'oubliez jamais la finalité de votre entreprise, votre engagement, vous élevez des chevaux de sport pour les contraindre au saut, au box, aux voyages, etc.

Lorsque les comportementalistes auront fini de découvrir pour comprendre et éduqueront, formeront, familiariseront les chevaux à la vie de cheval de courses ou de sport, je m'intéresserai à leurs travaux.