de l'eohippus à l'equus
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Espérons que l'on puisse revenir à ça mais je crains hélas que cela ne puisse se faire...
En tout cas, un très beau post !
" Revenir en arrière" n'est jamais enviable et trop rétrograde pour l'imaginer.
Par contre, nous ne sommes pas les premiers à espérer les meilleurs résultats possibles.
L'expérience du passé (celle des très anciens) véhicule aussi et encore des moyens, des méthodes, des principes propres à la performance.
La superposition des "feuilles de route" (méthodes anciennes et actuelles) pourrait nous permettre une sélection des meilleurs moyens à condition de les subordonner à la physiologie et la psychologie des chevaux, non à l'économie.
Je rêve un jour de lancer ce genre de discussion. Il y a ici bon nombre d'expertises qui pourrait dégager certains principes ..... à voir.
Merci cher Philippe d’avoir remonté ce sujet qui après avoir été malmené fut enfoui sous de belles considérations…
Évidemment, ce n’est pas le premier souci du cavalier mais l’obsession de l’éleveur.
Cet article de vulgarisation devrait commencer par expliquer les rythmes biologiques des chevaux, leurs types de croissance, leurs activités, leurs morphopsychologies, etc.…
Toute inhibition du comportement, touchant la mère influencera lourdement l’embryon. Les manques alimentaires (les lipides, glucides, protéines) sont d’un cycle plus rapide que les minéraux dont les carences sont lentes à rétablir comme une jachère.
Autrefois, lorsque l’élevage des chevaux de courses était un loisir, (époque bénie où l’éleveur prenait le temps de comparer et de réfléchir)
— les meilleures juments ne mettaient bas que tous les deux ans pour veiller à leur repos physiologique,
— de retour de l’entraînement, on attendait 1 an avant de faire reproduire la jeune jument,
— l’étalon vivait sur place, le stress du transport ne polluait pas l’élevage,
— L’alimentation bien que mal équilibrée, était plus naturelle,
— et enfin, les vermifuges étaient plus doux.
mais, la reminéralisation par apports de suppléments était rare et compensée par l’année de repos.
Il est intéressant de constater que cette bonne idée fait son chemin.
il ne faut pas désespérer de tous les hommes.