Skip to main content

attitude pour la décontraction

49 replies [Last post]
Marit
Offline
Joined: 23/12/2008

 Avant de pouvoir s'en passer, il faut en posséder.

Du genou.

 

JP
Offline
Joined: 21/05/2013

Le commentaire de Philippe a propos de son cheval d'obstacle est interessant et confirme (je pense) ce que je disais sur l'effet de la pression des genoux (il pressait ses genoux et le cheval "montait" contre lui, se mettant dans un meileur equilibre). Ca donnait un sentiment de desequilibre temporaire sur le plat ("le cheval allait s'echapper"), mais l'abord de l'obstacle (equilibrage visuel qui permet de monter "contre l'obstacle") et le dressage prealable reussi ("le cheval restait toujours sous moi") compenssait cette perte d'equilibre momentanee. Systeme efficace, bravo.

Je vois ceci: si vous faites une pression (contraction du cavalier) sur le cheval, il y repond par une contraction inverse ("resistance"), souvent plus forte que celle du cavalier. Le cavalier qui tire sur les renes obtient un cheval qui tire sur le mors . Ca peut etre une erreur d'equitation ou ca peut etre ce qu'on cherche (par exemple quand "on peigne les renes" sur un cheval avec un contact timide pour renforcer son desir de toucher le mors et prendre un peu d'appui). D'Aure voulait de l'appui dans les grandes allures et cheval et cavalier s'appuyait l'un contre l'autre, d'ou l'usage des gros filets de course par exemple.

Si vous serrez les genoux sur un cheval qui ne s'y attend pas (comme le faisait Lanni), il se contracte sans se remonter de premier abord et ne le fait que sous la "menace" visuelle de l'obstacle, creant un reflexe psychologique qui lui donne l'impression que l'obstacle est plus gros qu'il n'est en realite (c'est pour ca que beaucoup de chevaux batis sur les epaules sautent tres bien).

Si vous le faites tous les jours (Philippe, D'Orgeix), le cheval apprend a resister a cette pression d'un facon plus efficace et se remonte des qu'il en ressent le mojndre signal annonciateur. Si en plus le cavalier recompense le cheval par la voix (recompense extrinseque) chaque fois qu'il s'equilibre mieux et que celui ci se recompense tout seul en ne touchant pas l'obstacle (recompense intrinseque de l'equilibre / chance de survie amelioree), il adoptera le systeme tres vite et ce meilleur saut deviendra une reponse reflexive.

L'effet d'ensemble reussi n'est pas tres different: si vous serrez les jambes, le cheval contracte les flancs par une contraction "concentrique" qui reduit l'etendue du geste et diminue la concentration "excentrique" qui determine l'allongement des muscles.  La foulee "remonte" au lieu d'avancer. Si c'est ce qu'on veut et que le cheval est recompense par la voix ou une caresse, un simple effleurement de la jambe (signal symbolique cree par la diminution constante des aides) suffit a ralentir et relever le cheval (Beudant) qui a compris l'idee et se rassemble sans la main (evitant un effet aversif). Par contre le cavalier qui a les jambes plaquees en permanence sans savoir pourquoi cree un cheval qui se retient (ne se remonte pas) alors qu'il voudrait qu'il avance en consequence involontaire d'une equitation inconsciente.

Monsieur Jourdanne (officier des haras aux Breviaires dans les annees 70) avait un cheval de GP (pur sang) qu'il avait dresse a se remonter sous la pression des cuisses: plus on serrait les cuisses et plus il devenait brilliant. Je l'avais monte une fois ou deux a son invitation et c'etait un peu surprenant au depart (c'est l'inverse de ce que font les miens) , mais ca marchait tres bien. Je pense qu'Ymir (a mademoiselle Bourdeleau, un des derniers chevaux qu'Andre Jousseaume ait dresse et qui brillait en dressage dans les annees 60) fonctionnait aussi comme ca si je me souviens de sa position a cheval (le bas des jambes plutot ouvert, les cuisses fermees). ll avait une encolure tres relevee et une cadence extraordinairemnt lente dan les allongements (ce qui semble etre une marque de l'equitation de Jousseaume d'apres Decarpentry - "Notes de Berne"). Ce n'est pas tres different en principe de la caricature des cavaliers des American Saddlebreds qui montent tous avec les jambes completement ouvertes et les cuisses fermees (chevaux tres releves et expressifs mais creux dans le dos).

Je prefere une equitaton avec les cuisses ouvertes et le bas de la jambe ferme quand on en a besoin: dos relaxe, intercostaux et abdominaux actifs. Si le cheval apprend a monter ses epaules par leur propre muscles au lieu de ceux de l'encolure et du dos, il pourra etre actif et rond en meme temps.

Le tout c'est de se rappeller le principe: le cheval suivra toujours la meme progression des reactions: resister, ignorer , se relaxer, changer son  mouvement (l'accroitre vers ou nous le guidons). La premiere reaction etant la resistance, elle peut etre exploitee au benefice du cavalier: le cheval qui "fuit" la jambe ressite en fuyant (La Gueriniere ou d'Orgeix), mais comme c'est ce que le cavalier veut, tout le monde s'entend la dessus; le cheval qui contracte ses flancs dans l'effet d'ensemble se rassemble (c'est ce qu'on veut), mais si cette pression uitlisee avec insistence et sans douleur continue, le cheval se relaxe et donne une flexion de machoire (en fait de toute l'avant main) comme le voulaient Raabe et Faverot. Apres ca, la plus petite touche de l'eperon sur un cheval relaxe donne un mouvement ample ET relaxe ("n'utilisant que les forces utiles au mouvement", L'Hotte), donnant un cheval "qui se plait dans ses airs" (meme auteur) parce que le jeu de ses muscles locomoteurs n'est pas "coince" par la contraction isometrique (excessive donc paralysante) de ses muscles posturaux qui repondent a des contractions inutiles du cavalier, simplement pour maintenir son equilibre compromis. 

Beudant et Oliveira, dans des equitations qui differaient par leurs buts esthetiquees et la position du cheval, avaient un sentiment commun des aides minimaliste qui creaient le mouvement apres la relaxation plutot que le mouvement induit par la resistance (equitation moderne). La decontraction du cavalier est le meilleur moyen de "guider" le cheval tout en se faisant oublier et en lui rendant son sens naturel de l'equilibre, mais dans une forme sophistiquee qui inclut la flexion du dos, l'aplomb et la symmetrie. Nelson Pessoa, John Whitaker, Juan Diego Garcia Trevijano et Michel Robert par exemple, rejoignent les maitres de la legerete avec des aides minimalistes a l'obstacle.

Ce qui compte en equitation est de connaitre nos raisons et nos effets, apres on peut se servir de tout du moment que ca marche dans l'immediat sans compromettre nos buts futurs. Les grands maitres ont tous dit "qu'ils avaient tout essaye" (Baucher, Oliveira). Ce qui compte c'est qu'ils ont aussi compris causes et effets. Profitons donc de leurs experiences.

JP

JP  Giacomini
Lexington Kentucky USA
www.jpgiacomini.com
www.baroquefarmsusa.com
www.equusacademy.com

FARNAULT Philippe
Offline
Joined: 25/07/2006

 Bonsoir,

Au débourrage, j'utilise l'opposition du corps (du cavalier) au mouvement en avant (du cheval) en me penchant en avant pour ralentir, enfin pour s'arrêter. 
 
Ce comportement passe plus facilement avant la compréhension par le cheval de l'action du mors dans sa bouche. 
 
L'appui du corps du cavalier passe donc dans les cuisses, puis les genoux.
 
Les genoux qui se serrent deviennent progressivement une indication pour le cheval du ralentissement ou de l'arrêt à venir... La main agit peu ensuite.

J'utilise donc les genoux pour ralentir, faire varier la vitesse des allures ensuite.

La relation des genoux (et de l'assiette) avec l'arrière main se dessine... L'équilibre du cheval s'en resssent, il devient "capable d'équilibre" (l'expression n'est pas de moi, mais combien elle a de valeur...) avant toute intervention des mains. 

JP
Offline
Joined: 21/05/2013

 Marit, je ne suis pas sur d'avoir compris la phrase suivante:

 
J'ai en outre un peu de mal avec les "vertus du fouet" qui bien appliqué aurait de bons effets. 

Si vous parlez des eperons, leur douceur ou leur brutalite n'est que le reflet de leur forme, de l'habilete et des intentions de la personne qui s'en sert. La cravache c'est pareil: elle cingle, caresse, irrite, fait peur ou rassure (effet d'ensemble sur le dos ou l'epaule avec la cravache), elle peut meme decontracter par tapotement, (apparemment Oliveira pensait ca, d'apres Michel Henriquet :)  

Les aiguilles peuvent faire mal, mais ca marche tres bien pour l'accuponcture aussi .....

JP

JP  Giacomini
Lexington Kentucky USA
www.jpgiacomini.com
www.baroquefarmsusa.com
www.equusacademy.com

JP
Offline
Joined: 21/05/2013

 Philippe, c'est un systeme comme un autre. Vous surcharger les anterieurs (freins naturels du cheval) qui servent aussi a l'equilibrer. C'est une reaction naturelle que vous utilisez a votre avantage (d'autres font ca sans le faire expres et les chevaux s'arretent avec les gens qui se penchent en avant a l'obstacle sur un cheval qui ralentit deja).

Il est vrai que tout emploi du poids du corps bien compris par le cheval (donc associe a votre idee et recompense) marchera toujours mieux que l'emploi du mors (qui est une notion qui peut etre apprise, quand elle est bien enseignee).

Du moment que ca n'affecte pas negativement votre systeme d'impulsion, "c'est tout bon" comme disent les Suisses :)) 
JP

JP  Giacomini
Lexington Kentucky USA
www.jpgiacomini.com
www.baroquefarmsusa.com
www.equusacademy.com

FARNAULT Philippe
Offline
Joined: 25/07/2006

 

Le moment où le cheval donne la sensation de pouvoir s'échapper indique qu'il est en équilibre. La sensation provient du fait qu'un corps en équilibre est par définition instable... 
 
Cette sensation n'est pas (absolument pas) aimée et provoque l'envie de tenir le cheval, ce que beaucoup exécutent gênant ainsi continuellement son équilibre...
 
Au contraire à ce moment précis d'équilibre (joie intérieure et décontraction obligatoire du cavalier qui laisse faire ce qu'il a provoqué !) le mouvement en avant doit être entretenu ou du moins pas contrarié. C'est au sein de ce mouvement que le cheval trouve et peut conserver son équilibre. 
 
Par précaution de compréhension : le mouvement en avant n'est pas une accélération de l'allure... mais il doit être d'autant plus fort (visible même, pour l'observateur) que l'allure est lente. C'est facile si on ne tient pas son cheval qui est "capable d'équilibre". 
 
Ce mouvement en avant (espace de liberté propre au cheval au sein de l'allure) est impossible si on tient le cheval, mais il peut être artificiellement créé par la puissance éventuelle des jambes.
 
Votre inquiétude pour l'impulsion n'a pas lieu d'être... si on aime (en plus de la connaissance de ce que représente réellement le mouvement en avant) se déplacer avec son cheval.
 
Dans ce que j'ai exposé plus haut, le serrement des cuisses ou des genoux remplace progressivement le basculement du haut du corps. Il vaut mieux même y parvenir assez vite car on peut parfois se retrouver dans la situation d'un jeune cheval qui s'arrête alors que l'on pense ne rien lui avoir demandé... Un sourire, une caresse le rassureront, et la ferme résolution de faire désormais attention au déplacement du corps du cavalier sur le dos du cheval.
Le cheval rappelle à ce moment là combien il est sensible et de bonne volonté. Et qu'il ne faut pas éteindre cette sensibilité progressivement en faisant des gestes auxquels on n'attend pas de réponse, et d'autres auxquels on exige une réponse. Le cheval montre pourtant qu'il sait faire la différence entre nos différents gestes qu'ils soient commandements ou parasites.
 
Amicalement.
JP
Offline
Joined: 21/05/2013

 Philippe, votre systeme est basee sur une equitation qui vous est propre. "Les principes sont immuables mais les procedes sont personnels" (Bragance). La mecanique du cheval est tellement complexe qu'il y beacucoup d'approches qui marchent du moment que vous demandez les choses toujours de la meme maniere afin que le cheval comprenne bien (Oliveira).  

Comme j'ai dit, vous pouvez avoir un cheval qui s'arrete alors que vous ne lui avez rien demande (je vous cite). Se pencher en avant peut ralentir le cheval (votre effet du poids du corps sur le "diagonal du frein", generalenent le gauche) ou l'accelerer (report de poids sur le "diagonal du mouvement", generalement le droit). C'est pour ca que la meme action apparente peut donner 2 effets completement differents si le poids du cavalier est un peu plus a gauche qu'a doite sans que le cavlier s'en rende compte.  

Ce qui important dans votre maniere c'est que vous allez vers une "recompense intrinseque" ("joie interieure de l'equilibre") et que vous remplacer une "aide naturelle" (le poids) par une aide de convention (pe serrement des cuisses) qui est comprise par le cheval eduque, donc une reflection de votre intention. Il faut toujours que le cheval "paie attention a ce qui porte une intention, et ignore ce qui n'en a pas". Par example un cheval de voltige cosaque ignore completement les enormes mouvements du cavalier et le supporte ou qu'il soit, tant qu'il a les renes longues, mais obeit de nouveau a l'assiette quand le cavalier reprend les renes. Meme chose pour un cavalier tauromachique qui ne tourne pas vers le taureau quand le cavalier sort de la selle dans la meme direction pour placer une banderille. Au dela de nos aides, les chevaux bien dresses comprennent nos intentions et nos signaux physiques. Tout ca vient d'une relation de bonne volonte entre les deux. Aparemment , vous avez su en creer une entre vous et vos chevaux.   

Juste un mot sur le mouvement en avant: il correspond bien a une acceleration lineaire de l'allure, mais pas forcement a une acceleration du tempo. Vitesse et tempo sont 2 notions bien differentes qui se recouvrent l'une l'autre et creent des coinverations confuses quand la precision des termes nous vient a manquer.

Theroriquement , un cheval de dressage academique doit conserver le meme tempo quelle que soit sa vitesse lineaire (trot rassemble jusqu'au trot allonge). En fait, si il est bien dresse, il ralentira un peu son tempo quand il augmente sa vitesse (allongement par exemple) et accelerera un peu son tempo quand il ralentit son allure (transition descendante vers le piaffer par example).

Un cheval qui ralentit la vitesse du trot tout en ralentissant son tempo, ne diminue pas la longueur de ses foulees (donc s'approche plus du passage que du piaffer) et evite ainsi de se rassembler. C'est pour ca que les iberiques au rein souple arrivent plus facilement au piaffer que les allemands au rein fort qui tendent a augmenter leur suspension plutot que leur engagement. Les cavaliers allemands cherchent maintenant a elever des chevaux avec "un posterieur rapide" qui garde son activite (repetition des foulees) dans les transitions, donc un cheval qui n'est pas bloque dans une cadence immuable (comme les chevaux suedois des annees 70, qui trottaient comme des machines mais ne se rassemblaient jamais).  

D'un autre cote, les chevaux iberiques tentent a accelerer le tempo quand ils allongent et les eleveurs cherchent a produire des chevaux avec plus de cadence naturelle. La question fondamentale pour eux: si il veulent des chevaux tauromachiques, la possibilite d'accelerer le tempo est fondamentale, mais elle doit diminuer pour un cheval de dressage. Heureusement, ces chevaux pasage souvent bien et cette allure peu etre utilisee pour "inventer" la cadence qu'ils n'ont pas de naissance. C'est pour ca que Wachter (ou Gaussen? eleves de Baucher) disait que "le passage et le pas espagnol arrangent toutes les autres allures des jeunes chevaux".

Si on regarde bien les jeunes chevaux, ou les chevaux de course au depart, on peut voir une acceleration du tempo en meme temps que la creation de la vitesse. Mes jeunes andalous accelerent tous leur tempo au debut d'un allongement de trot, puis il sont domines par le momentum de l'allure et la vitesse superieure se maintient en meme temps que le tempo se ralentit "Le cheval trouve sa foulee" (hit his stride). Plus le cheval acquiere de force, plus il arrive rapidement au tempo lent dans le depart des allongements. Plus le cheval devient souple et relaxe, plus il peut accelerer insensiblement son tempo dans les raccourcissements des allures pour garder (et augmenter) son activite.

JP 

JP  Giacomini
Lexington Kentucky USA
www.jpgiacomini.com
www.baroquefarmsusa.com
www.equusacademy.com

Christopher Cunningham
Offline
Joined: 24/06/2007

Ces échanges Farnault / Giacomini sont délicieux.

"paie attention a ce qui porte une intention, et ignore ce qui n'en a pas". To pay attention = bien noter.

Bon, à part cela, peut-on distinguer entre "serrer les cuisses" et "serrer les fesses"? NO a bien exposé la différence entre les fesses mollement étalées (état courant) et les fesses serrées (action brève)?

FARNAULT Philippe
Offline
Joined: 25/07/2006

 

C'est aller loin (trop ?) que d'évoquer le "diagonal frein" et de lui opposer le "diagonal mouvement"... 
 
Trés simplement, le fait de se pencher en avant contrarie le mouvement vers l'avant du cheval, tout comme se pencher en arrière provoque l'inverse vers l'avant. Cela est très net chez le jeune cheval.
Il n'est pas utile de décomposer ou de créer plus... ou de compliquer la relation.
 
Ce comportement du poids du cavalier pourrait être entretenu depuis son débourrage jusqu'à un âge avancé du cheval. Le cavalier devra faire attention au poids de sa tête penchée vers l'avant et aux répercussions sur le cheval. Mais le cheval en bon serviteur compensera comme certainement toujours il fait...
 
Je ne peux m'empêcher du plaisir de transmettre ce texte de Ibn Al-‘Awwâm, arabe sévillan du 12ième siècle :
 
Il qualifie la tête du cavalier de « régulateur dont tout le monde ne tient pas assez compte » garantissant au cavalier stabilité sur la selle et surtout l’assurance d’un maniement soigné des rênes : « que votre guide en cela soit la position de la tête dans une tenue régulière et normale ». Et, « Sachez que le beau, dans l’équitation et dans l’art hippique, consiste à savoir bien se tenir en selle et à manier les rênes avec grâce. L’animal trouvera par là l’assurance et la stabilité dont il a besoin ». » (dans Le livre de l’agriculture  Éd. Actes Sud. )
 
 
Il faut aussi se poser la question de savoir pourquoi pour s'arrêter il est demandé au cavalier de reculer  les épaules, si l'on sait que sur un cheval sensible (exemple du poulain au débourrage) le recul du poids du corps le porte plutôt vers l'avant...
 
Amicalement.
Marit
Offline
Joined: 23/12/2008

 J'ai de plus en plus de mal à lire vos propos JP, et comparer les éperons à l'accupuncture est pour moi la dernière goutte qui fait déborder le vase. Je ne vais pas expliciter les raisons de cette aversion, vous ne comprendriez surement pas.