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ECHELLE de PROGRESSION

137 replies [Last post]
MULOT Serge
Offline
Joined: 17/03/2006

Bonjour,

Bien, on postule qu'il faut monter à ""l'Allemande "" alors qui enseigne encore l'équitation "" à la Française"" ?

Pourquoi ne pas soumettre à la FFE le fait de faire des concours ""purement français"" dans l'hexagone où la tous les Dresseurs pourraient y participer pour mesurer leurs connaissances ou leurs croyances personnelles ?

Cordialement Serge

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Joined: 29/01/2011

)))

MULOT Serge
Offline
Joined: 17/03/2006

Bonjour Pierre,

Pourriez-vous développer "" il faut monter juste "" ?

Cordialement Serge

MULOT Serge
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Joined: 17/03/2006

Je rajoute quelques mots.

Une ligne est tracée avec "" l'échelle de progression "" mais je constate que cette échelle démarre sur le postulat que le cheval est "" prét à monter"" pour simplifier.

Je sais qu'il y a autant de travail différent que de chevaux, ce qui nécessite une ""adaptation du cavalier"" peut-être en dehors de l'échelle.

Alors ma question est = comment pouvons-nous améner tous les chevaux de dressage au stade du postulat, donc à 99% prés à commencer l'échelle de progression ?

Là je pense que commencer cette échelle sans parler du context pré-échelle me semble .. cavalier.

Cordialement Serge

KATZ Yves
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Joined: 17/03/2006

 Les chevaux que travaillait Oliveira claquaient-ils du bec, en trépignant?
Et pour rester à une époque plus près de nous, Odin, éduqué par Philippe Karl, trépignait-il en claquant du bec?
Ces deux exemples sont-ils pour vous, Pierre, une caricature de l'équitation de tradition française, héritière de La Guérinière et de Baucher?
Et je prends soin de citer des écuyers que j'ai vu en réel, pas au travers de vidéos qui ,obligatoirement, tronquent la vision juste!

Amicalement, yves KATZ http://educaval.forum-pro.fr/

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Joined: 29/01/2011

Pour ma part le travail que faisais faire le Colonel Carde à ses jeunes eleves du "pole espoir" a Saumur dans les années 1987/1988 me semblait plus convaincant que celui des ecuyers cités pour se presenter a des concours de dressage FEI .

Hervé
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Joined: 07/03/2012

je ferai remarquer amicalement a Hervé que comme je le souligne,  avant le rollkur AVG et tous les autres qui pratiquent ce procédé redoutable et tres redouté , maitrise parfaitement le fait de rendre le cheval " tres tres tres reactif" aux aides ; c est un des points clefs de la methode de E Gal !

Comment intègre-t-il cet enseignement à l'échelle ?

C'est ce qui me pose problème avec cette échelle. Où est l'enseignement des aides ?
A part Neilly, qui ne semble pas pratiquer cette échelle, personne n'a eu la gentillesse de me répondre concrètement.

Parce que l'impression que j'ai est que l'obéissance aux aides est tenue pour allant de soit. Mais cela n'est vrai que lorsqu'on utilise la force, voir les enrênnements.

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Joined: 29/01/2011

)))

OLRY Juliette
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Joined: 17/03/2006

d'accord avec vos dernières remarques Pierre .

Yves , il  arrive que des chevaux même montés par Oliveira claquent du bec  (et Oliveira aussi a évolué dans sa pratique et appris de ses erreurs ) et dans la pratique de Karl il y a aussi des choses discutables ( malheureusement je manque moi de temps pour développer , ayant beaucoup de travail sur le terrain)

Ce ne sont pas des Dieu et nul ne détient la vérité absolue, mais une part de celle ci .

KATZ Yves
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Joined: 17/03/2006

Pour ma part le travail que faisais faire le Colonel Carde à ses jeunes eleves du "pole espoir" a Saumur dans les années 1987/1988 me semblait plus convaincant que celui des ecuyers cités pour se presenter a des concours de dressage FEI .

Pierre a parfaitement raison de souligner ce qui fait la différence d'appréciation et d'approche des différentes équitations qui sont défendues ici: d'une part, une équitation qui débouche sur la compétition, fortement dévoyée ces dernières années, qui privilégie le spectaculaire plutôt que la "sublimation" des mouvements naturels du cheval , dérives contre lesquelles AI "se bat" et del'autre côté une équitation de haute école, mettant en avant la grâce du cheval et les compétences d'homme de cheval du cavalier.
Chacun , en fonction de son coeur, de ses objectifs choisira une voie ou une autre. Ce qui importe c'est le respect dû au cheval..
Et des dérives, on en rencontre dans toutes les approches.
Ce qui est à regretter c'est qu'il y en ait tant dans ce que les médias nous présentent et qu'elles les représentent comme étant de la "belle et bonne équitation", ce qui donne une mauvaise culture et de mauvaises techniques à ceux qui n'ont pas encore une connaissance suffisante de la chose équestre (enrênements à foison,obsession du placer du bout de devant, aucuen attention à ce qui se passe derrière et dessous.......................).

Amicalement, yves KATZ http://educaval.forum-pro.fr/