JO où est le problème ?

Monsieur Katz : ou est pour le monde équestre d'aujourd'hui, la valeur ajoutée de votre programme d'équitation de légèreté ?

Je me suis amusée à imaginer que vous soyez un adepte du Rollkur et j'ai relu votre message... et bien votre texte pourrait tout à fait "coller" avec un programme Rollkur : étonnant non ?

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Mais non Marit, ne titillez pas Yves qui apporte une réflexion structurée et qui commence son texte par " équitation saine" et " confiance", ce qui ne peut en rien s'appliquer  cette soi-disant méthode ... et si vous ajoutez les apports de Bruno et les miens, pas de risque qu'on aille rollkurer !

Mais non Marit, ne titillez pas Yves qui apporte une réflexion structurée et qui commence son texte par " équitation saine" et " confiance", ce qui ne peut en rien s'appliquer  cette soi-disant méthode ... et si vous ajoutez les apports de Bruno et les miens, pas de risque qu'on aille rollkurer !

J'imagine bien, 

Comment enseigner à 8 élèves en moyenne sur 1 heure, la légèreté ? Et surtout qu'est ce qui les motiverait à venir prendre des cours chez vous plutôt qu'au poney club d'à coté ?

Je désespère de ne pouvoir trouver dans les messages des arguments chocs pour donner envie de légèreté.

Pour le programme de Monsieur Katz, j'imagine que sans mécène, et des investisseurs dubitatifs, pour mettre ses idées en pratique, il y mettrait de sa poche pour nourrir les chevaux et ses cours et interventions seraient bénévoles ?

Ok ok je ne titille plus ^^

Soyez (Soyons ^^) réalistes !

 Si Maltosa passe par là... 

Donneriez vous dans le cadre d'atelier découverte d'un centre équestre des cours de bourrelerie ? 

Si oui combien de participants au maximum et combien demanderiez vous en paiement pour une prestation pour un atelier suivi jusqu'à réalisation d'un bridon ? Quel âge requis pour les participants ?

Marit, pour la motivation la réponse est simple: l'exemple , la pédagogie par l'exemple.

"Le maître d'équitation deviendra ainsi un modèle pour ses élèves, comme homme de cheval et comme cavalier, s'il fait réaliser tout ce qui précède et s'il suit le droit chemin dans son exixtence"
                                      A. PODHAJSKY; Des chevaux et des hommes; P17


 Les enseignements hors selle se feraient sous forme d'ateliers (créatifs cela va de soi),... je vous aide là ^^ Ateliers payants mais ludiques et valorisants (pas de diplome mais un résultat concret : par ex pour l'atelier bourrelerie : un bridon). Toutes les prestations hors selle devront passer par là.

Un conseil de sages devrait aussi sièger régulièrement et recevoir des candidatures de futurs talents (auto-proclamés) sur dossier. Avec (soupir) une bourse (il va falloir trouver le financement), mais la notion l'élite passe aussi par la sélection de futurs talents qui seront accompagnés dans leur projet, et soutenus dans leur formation, jusqu'au niveau de résultats en compétition.

Il faudra que l'équipe de compétition de l'école de légèreté soit visible, avec un habit qui le distingue clairement et que les chevaux soient aussi identifiables....

La cavalerie sera formée, et valorisée pour éventuellement être vendue (pas taper ! pas taper !) et donc renouvellée : du travail pour l'équipe d'enseignants.... mais la validation pour les investisseurs de l'intéret de l'option légèreté : choisir et former d'excellentes montures qui font envie et qui seront vendues... c'est très convainquant (pour les chevaux à acquérir, Bruno pourra nous montrer ses talents de découvreur de chevaux d'avenir...).

Ne pas oublier : des clients tout venant pour une équipe d'enseignants et de chevaux d'élite avec pour but avoué de briller sur les terrains de concours.

Entre les deux : le programme d'enseignement de AI...

Comment enseigner à 8 élèves en moyenne sur 1 heure, la légèreté ? Et surtout qu'est ce qui les motiverait à venir prendre des cours chez vous plutôt qu'au poney club d'à coté ?
Relisez mes interventions, Marit. Sauf erreur,dans ce que j'ai indiqué, je limite mes cours à 3/4 cavaliers et je parle de séance et non pas d'heure d'équitation.Et si, par le passé, mes reprises comprenaient plus de cavaliers, je parlais toujours cheval avant de parler équitation et ai toujhours fait le lien entre demandes du cavalier et compréhension du cheval.
En 1 heure, on ne peut enseigner la légèreté, tout du moins celle du couple; Par contre, à partir d'un cheval en liberté, on peut montrer à tous ce qqu'il a de gracieux.Et, à partir de là, on peut parler de la nécessité de converser avec galanterie et légèreté avec son cheval( la légèreté s'entendant comme l'utilisation de l'aide minimum nécessaire à l'éxécution de l'exercice requis, aide qui agira avec précision, rigueur, au moment opportun et le plus brièvement possible)
Ce qui motiverait quelqu'un à venir chez moi plutôt qu'au poney club d'à côté? Tout d'abord parce que dans un premier temps je ciblerai les adultes. Et il n'ont pas leur place dans un poney club(on le leur fait bien savoir; les enseignants d'aujourd'hui reconnaissent, eux même en majorité,leur manque de compétences dans une pédagogie pour adultes). Et quand les adultes seront convaincus (bien sûr tout le monde n'adhèrera pas!)ls enfants suivront. Le bouche à oreille a plus de puissance que toutes les publicités.
Merci, Marit, de me comparer à un adepte du rollkur. J'aurais tellement préféré que vous exprimiez cette opinion, face à moi, quand vous êtes venue me rendre visite à votre demande
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 ou est pour le monde équestre d'aujourd'hui, la valeur ajoutée de votre programme d'équitation de légèreté ?
Dans des sensations que nombre de cavaliers du monde équestre d'aujourd'hui, ne connaissent pas, parce que l'on ne les a jamais invité à ressentir. Dans une relation plus franche avec son cheval(ce qu'aurait pu faire l'équitation dite éthologique, souvent malmenée et réduite à l'état d'exercices dit de cirque, mais bien loin de la vraie équitation de spectacle). Les cavaliers apprendraient à être autonomes avec leurs chevaux, tant dans leur capacité à les soigner qu'à les éduquer.
Et puis, les cavaliers seront des gens que l'on écoute et dont on tiendra compte,tant que cela ne se fera pas à l'encontre du bien être physique et psychique du cheval.

Ne pas oublier : des clients tout venant pour une équipe d'enseignants et de chevaux d'élite avec pour but avoué de briller sur les terrains de concours.
Personnellement, je ne suis pas pour l'élitisme en équitation. de même que, pour moi, la finalité n'est aps de briller en compétition, maids de tirer le meilleur parti du cheval que l'on éduque.
Si les enseignants doivent faire partie de l'élite par leurs compétences techniques, pédagogiques et sociales, tous les chevaux naturellement aptes à la selle peuvent faire partie de l'écurie(et destinés à être vendus si un élève désire en devenir propriétaire). Et les cavaliers qui n'ont comme finalité que une meilleure relation avec leur cheval seront autant considérésque ceux qui veulent représenter l'école en compétition.Car ces deux cavaliers, seront, chacun à leur niveau, l'ambassadeur de cette école d'excellence.

 Allez je vais pousser le bouchon un chouille plus loin...

Le travail des enseignants et la formation des chevaux serait "controlée" (supervisée ?) par une équipe de chercheurs et véto spécialisés dans la biomécanique, et la locomotion. Le travail d'équipe consisterait à découvrir comment amener un cheval au plus haut niveau, sans trop de bobo, des parutions feraient connaître le travail des chercheurs et donneraient un éclairage supplémentaire à l'école d'équitation de légèreté, de facto.

Seront surement et souhaitablement développées des nouvelles technologies de diagnostic et de prévention et de soin des pathologies : l'innovation serai de mise.

Il se pourrait que les meilleurs chevaux soient mis à la reproduction, pour vente ou renouvellement de la cavalerie (le débourrage serait alors l'objet d'un atelier découverte).