Skip to main content

Lettre à Michel Henriquet - Topic not translated

101 replies [Last post]
xavier
Offline
Joined: 21/09/2006

THIS TOPIC IS NOT TRANSLATED BECAUSE IT IS BASED ON A CONTROVERSIAL LETTER THAT CAN BE UNDERSTOOD VERY DIFFERENTLY DEPENDING ON THE EQUESTRIAN BACKGROUND AND UNDERSTANDING OF THE READER.

Monsieur Henriquet,

Où allez-vous donc ?

Je viens de prendre connaissance de votre article « le calme en question » (cheval magazine, décembre 2006) et tiens à réagir en ce lieu qui se veut un temple de la légèreté.

Je reproduis votre article in extenso, pour ceux de nos « forum-eurs » qui n’ont pas connaissance de votre propos.

« je n’ai jamais été convaincu par la formule lapidaire de notre « général icône » (l’Hotte) « en avant, calme et droit. » Va pour « en avant », d’accord pour « droit » et, tant que nous y sommes, « incurvé » sur les courbes. Mais j’ai toujours été réservé sur le « calme » ; en effet, parmi les chevaux que j’ai travaillés, les plus grands mécomptes essuyés le furent sur des montures trop calmes. J’aurais préféré le mot « serein » s’il n’avait été explicité par les savants philologues comme le fait d’être « dans un état de paix morale. » Je me rangerai plus volontiers au terme « confiant. » Les plus grands chevaux de dressage sont, dans l’écrasante majorité, des animaux explosifs, agités voire violents, qui ont été montés et civilisés avant même d’être dressés par des cavaliers d’exception. Leurs instants d’apaisement apparent sont ceux qui séparent deux secousses telluriques. Le feu souterrain est permanent, la vision artistique fragile et fugitive. La contrainte exercée sur le physique et le mental d’un cheval de dressage, même par les cavaliers les plus respectueux, est telle qu’après les sept ou huit ans nécessaires à son aboutissement, il ne reste plus d’un cheval paisible qu’un individu éteint. Voici quelques illustrations vécues. Aux fêtes du quadricentenaire de l’Ecole de Vienne, Piaf, le cheval de Mme Linsenhoff, âgé de plus de vingt ans, a refusé l’approche du bouquet traditionnel par une violente dérobade. Il fut ainsi tout au long de sa carrière. Lors d’un international à Fontainebleau, l’excellent Granat, de Christine Stückelberger la ramena littéralement au box, un cygne s’étant envolé à cent mètres de là. Elle a néanmoins réalisé un magnifique grand prix. Qui ne se souvient du superbe et impétueux Corlandus et de la délicate Margit Otto-Crepin, qui ne pouvait se risquer sur le rectangle qu’après deux heures de promenade et une heure de détente. Aujourd’hui, le Salinero d’Anky van Grunsven n’est pas un modèle de calme. Bien sûr, le cavalier débutant devra se contenter de chevaux assez placides. Lorsqu’il aura atteint une solide maturité dans l’assiette et la technique, il lui faudra acquérir une monture tonique et réactive, s’employer à créer le code de communication qui lui permettra de l’instruire et ainsi d’obtenir la plus belle chose au monde : sa confiance… Oui, la confiance. »

fin de l’article.

Vous commencez votre propos en émettant une réserve sur le triptyque du Gal l’Hotte, « en avant, calme et droit » ; un homme aussi érudit que vous ne peut s’être trompé sur l’ordre des mots, puisque le Général écrit sa maxime dans un ordre différent, à savoir « calme, en avant, et droit », signifiant ainsi toute la primauté du calme sur les deux autres piliers.

« l’ordre dans lequel ces trois buts doivent être poursuivis est invariable, absolu, et il ne faut rechercher le suivant qu’après avoir atteint le précédent » écrit encore le Général, et de préciser que « pour que le cheval puisse apprécier nos actions, il faut avant tout qu’il soit CALME et CONFIANT ! »

Voilà pour la vérité historique, Monsieur Henriquet ; vous n’enlevez ni n’ajoutez rien aux propos du Général l’Hotte…

L’esprit, à présent ;

Après avoir lu votre article puis refermé le magazine, il m’en est resté la fort désagréable sensation que vous justifiez, implicitement, l’emploi de la contention puisque le dressage de haut niveau ne s’applique, selon vous, qu’aux chevaux survoltés.

A vous lire, il semble que le dressage n’est que la mise en oeuvre d’une technique, et non pas celle d’une liaison affective entre un cavalier et sa monture ; définissez-vous la légèreté comme « le juste emploi des aides techniques », là où beaucoup d’adeptes de cette même légèreté s’efforcent d’appliquer le « juste emploi des aides techniques et MORALES » ?

Si, parmi les chevaux que « vous avez travaillés, les plus grands mécomptes essuyés le furent sur des chevaux TROP calmes », en fut-il de même sur des chevaux « simplement » calmes ou rendus calmes par vos soins ?

Quelle horreur que celle d’écrire, en simple rapport factuel et sans émotion apparente, que « la CONTRAINTE exercée sur le physique et le mental d’un cheval de dressage est telle qu’après les sept ou huit ans nécessaires à son aboutissement, il ne reste plus d’un cheval paisible qu’un individu éteint. »

Vous parlez certainement du dressage de compétition, pour lequel la fin justifie les moyens, dressage qui, trop souvent, n’a rien à voir avec la légèreté, en tout cas celle que personnifiait votre maître et ami, N Oliveira…Serait-ce qu’en se livrant à la compétition, sur des chevaux aptes à subir l’équitation susceptible de mener au titre olympique, on en vienne à admettre des compromis qu’Oliveira aurait qualifiés de compromission ?

« Une monture tonique et réactive », allant avec confiance, ne devrait-elle montrer tout autre chose que ces affolements qu’on voit à haut niveau, lesquels traduisent l’absence totale d’adhésion du cheval ?

Au milieu d’autres exemples, et sans aucune distinction, ce qui me paraît grave, vous évoquez Salinero, dont on sait ce qu’il subit ; le désordre serait-il une fatalité, au point qu’il justifiât l’usage de méthodes discutables ?

Vous allez me châtier dans votre réponse, j’imagine…Mais laissez-moi vous dire que des chevaux impossibles, j’en connais quelques-uns ; le calme (appelez-le « sérénité », « confiance » ou tout autre mot, c’est bien égal pour le cheval, qui ne sait pas lire) est un état qui ne peut se gagner ou être conservé que si l’intégrité physique et morale du cheval est préservée, à chaque instant de sa progression, ce qui exige qu’on ne passe à une autre étape du dressage qu’à la condition intangible que l’étape précédente ait été réalisée dans le calme absolu, quitte à figer la progression technique le temps qu’il faudra.

Et je ne parle là que des chevaux à dresser ; je n’ose aborder le cas des chevaux à re-dresser !

Votre propos jette confusion et doute, Monsieur Henriquet.

quid des quatre temps du dressage que vous évoquez dans votre excellent ouvrage « gymnase et dressage » ? Que deviennent le temps de comprendre (le calme), le temps d’apprendre (la confiance) le temps de faire (technique et mental), enfin le temps de parfaire (mental et technique) ?

Cela dit, puisqu’il faut des chevaux survoltés pour atteindre le haut niveau, et user de contention le temps du show (« il faut bien que ça tienne, n’est-ce pas ! ») vous flattez involontairement ces anonymes talentueux qui font du calme le socle de toutes les étapes du dressage, et qui parviennent à aller, eux, dans la descente des aides.

J’imagine les enseignements que peuvent tirer de votre article les lecteurs de cheval magazine ; vraiment, tout cela mérite une mise au point, car vous avez un devoir !

Très cordialement.

PS : je vous adresse un E-mail privé afin que vous ne manquiez ce courrier, votre présence sur le forum se faisant très rare.

Message édité par: tradai1, à: 2006/12/28 13:53

xavier Kenaz

x
Offline
Joined: 17/03/2006

Bonjour à tous

Merci Xavier.
------------------

Là j'ai comme un coup de chaud !
M. le vis-président c'est consternant.
C'est un aveux d'échec pour votre équitation.

cordialement pierre

Message édité par: MEIER, à: 2006/12/26 21:27

BLESCHET Josette
Offline
Joined: 17/03/2006

Merci d'avoir reproduit ce texte.
Je ne l'ai pas compris du même sens que vous.

Il redéfinit le contenu du mot 'calme' pour justement, condamner les cavaliers de haut niveau qui ont abandonné ce rapport de confiance au profit d'une domination aboutissant à la résignation.
Et il incite les nouveaux cavaliers à rechercher, même avec des chevaux de ce type, le rapport de confiance qui est la clef de tout.

Jean-Philippe
Offline
Joined: 31/07/2006

Quand, pour la première fois, il y a de cela tout juste 30 ans, j’ai poussé la porte du petit manège de Bailly, ce fut pour moi la révélation. J’y ai vu sur un merveilleux petit cheval gris répondant au nom de Miguelista, une extraordinaire cavalière, Catherine Durand. Nous avons engagé la conversation et Catherine m’a dit : « ne le dites par un Monsieur Henriquet, car je n’ai pas le droit de faire, mais je vais vous montrer tout ce que ce cheval sait faire. Et Miguelista s’est mis à danser devant moi.

Depuis ce jour, dès que je le peux, très souvent à l’époque, hélas moins maintenant, je vais pousser les portes de ce manège, et maintenant du manège d’Autouillet. J’y vais seule, j’y vais accompagner de cavaliers, et chaque fois, calme, sérénité à travers l’équitation qui y est pratiquée, à travers les personnes qui viennent assister au travail. Je me souviens lui avoir apporté certains chevaux dont les qualités auraient fait sourire beaucoup de ceux qui me lisent en ce moment. Pas une seule fois le Maitre a dédaigné un de ses chevaux. Il les a jugés ; il m’en a dit objectivement ce qu’il en pensait ; il ne les a faits travailler avec la même passion que s’ils avaient été les plus brillants des ibériques. Et jamais il n’a rechigné à les monter pour illustrer ce qu’il me disait de faire.

Le premier cheval que j’ai acheté, je l’ai trouvé grâce à Catherine. C’était un anglo-arabe répondant au nom de Rocky. Quand je suis allé essayer, M. Henriquet qui ne connaissait pas le cheval m’a prodigué tous ses conseils. Il a avant tout insisté sur l’énergie naturelle que devait avoir cheval de dressage. L’impulsion, le tride… il plaçait l’énergie avant le modèle.

Je me souviens du calme qui régnait dans le manège. Une anecdote ne revient en mémoire. Dans ce petit manège de Bailly qui ne mesurait guère plus de 12 m sur 24, pendant que Catherine longeait un entier ibérique, M. Henriquet en travaillait un autre en selle. Catherine ayant terminée son travail à la longe, elle ôta le caveçon de son cheval et, le laissant seul au milieu de ce petit manège, allant raccrocher le tout à la patère… M Henriquet s’arrêta et dit à Catherine : « Tu exagères, tu cherches les problèmes ! Il ne faut pas abuser de la quiétude de nos chevaux au travail !... »

Je continue à me rendre régulièrement chez le Maître. Et cette quiétude, je la retrouve à chaque fois. Comme le dit si bien Xavier Kenaz, la légèreté physique et morale.

Il y a cinq ans, je lui ai écrit une lettre pour lui exprimer tout ce qu’il représentait pour moi, ces choses que l’on pense et que l’on ne peut pas dire, que l’on ne sait pas dire et qu’on regrette un jour de ne pas avoir dit. Et cette lettre, si je devais la réécrire, je la réécrirais aujourd’hui telle que, même après avoir lu l’article dans Cheval Magasine, même après avoir lu la réponse qu’en a fait mon ami Xavier. Je comprends les interrogations qu’ont pu lui susciter cet article. Je comprends parfaitement le sens du message de Xavier.

Mais vous Pierre, je vous trouve "limite" dans votre intervention ! Remttre en cause 50 ans de travail et de recherche au service de l'art équestre pour un simple texte... Limite...

Message édité par: JPhL, à: 2006/12/27 17:22

 

Jean-Philippe
Offline
Joined: 31/07/2006

Comme quoi, Josette, il est très difficile d'écrire. Quand j'écris un article sur mon site, je le fais lire avant de le publier par plusieurs personnes, de niveau équestre différent, pour éviter au maximum tou contre sens.

Dans une première lecture, j'avais fait la même analyse que vous... Pas objectif, diront certains... C'est vrai ! Après avoir lu l'analyse de Xavier, je suis plus partagé et comprend que le texte peut être ambiguë... Il ne reste plus qu'a attendre les précisions que Xavier espère...

Message édité par: JPhL, à: 2006/12/27 01:11

 

x
Offline
Joined: 17/03/2006

Bonjour à tous

Mon cher Jean Philippe, M Henriquet s'exprime publiquement dans une revue accessible à tous il s'expose donc aux critiques de chacun et chacun du plus humble au plus savant est parfaitement libre d'avoir son opinion et de l'exprimer. J'admets bien volontiers avoir réagi un peu vivement.

---------------------

Si j'ai mal compris l'article de M Henriquet j'espère qu'alors il dissipera cette incompréhension de façon parfaitement claire.

---------------------

Je me retire sans regrets, je m'exprimerai ailleurs.
Bonne nouvelle, non ? :-)

Bonne fête à tous
cordialement pierre

Message édité par: MEIER, à: 2006/12/27 21:29

KATZ Yves
Offline
Joined: 17/03/2006

Il est vrai que l'article incriminé crée le doute de par une ambiguité certaine; ambiguité dont est à l'origine le petit bout de phrase: "..les plus grands mécomptes essuyés le furent sur des montures trop calmes...".Pour le reste, si on prend le temps de lire, MH ne fait que relater certaines anecdotes qu'il a rencontrées, qu'il n'approuve ou excuse.

L'ordre dans lequel est cité le résumé du Gal L'Hotte a tout de même son importance quant on fixe les objectifs dans l'éducation du cheval...

Il eut été intéressant qu'il définisse de façon plus complète ce qu'il entend sous les termes de calme et confiant.

Pour illustrer le fait que certains Maîtres s'affrontent alors qu'ils sont d'accord sur beaucoup de principes, je citerai ces quelques lignes de Philippe Karl, écrites en 1979, dans: Equitation, la gymnastique du cheval:
"Le cheval dont le cavalier peut espérer des prestations artistiques ou sportives d'une réelle qualité, est d'un naturel impétueux, vibrant et sensible.
Pour préserver son capital-finesse et intégrité physique, l'écuyer doit renoncer à calmer par la fatigue ou la lassitude.
Face à un sujet quelconque d'inquiétude, le cheval ne gardera en aucun cas le contrôle de sa monture si ses interventions sont reçues comme des agressions ajoutant à son trouble. Seule une gymnastique rendant le cheval flexible, donne cette réceptivité aux aides qui permet de convaincre et sécuriser...........
Amicalement, Yves KATZ.
PS: Pierre, vous "prenez trop faciement la mouche", me semble-t-il; expliqez vous comme vous venez de le faire quand vous vous sentez "agressé", mais ne quittez pas le forum; l'avis de tous est intéressant à lire.

Message édité par: KATZ, à: 2006/12/27 09:58

Message édité par: KATZ, à: 2006/12/27 10:19

Message édité par: KATZ, à: 2006/12/27 10:21

Amicalement, yves KATZ http://educaval.forum-pro.fr/

FARNAULT Philippe
Offline
Joined: 25/07/2006

Protégez Monsieur Michel Henriquet, s'il vous plaît!

---> Le ton et la forme employés habituellement sur le forum ne peuvent lui être appliqués, en aucune façon.

Pourquoi n'avoir pas écrit "en privé" avant toute intervention? Le forum est-il une arène?

J'ai honte de la tournure donnée au débat avec la sensation de regarder une vitrine cassée… celle d'Allège-Ideal!

Allège-Ideal doit rester un théâtre courtois et respectueux entre les hommes comme à cheval.

Voyez toute la grandeur qui émane de Monsieur Michel Henriquet et adressez vous à elle en premier et en évitant de la ternir.

Aimez Monsieur Michel Henriquet, s'il vous plaît!

Ne revenez sur ce forum qu'après avoir échangé vos idées en privé avec lui, en vue de construire la réputation d'Allège-Ideal.

BLESCHET Josette
Offline
Joined: 17/03/2006

Jean-Philippe écrit:

Dans une première lecture, j'avais fait la même analyse que vous... Message édité par: JPhL, à: 2006/12/27 01:11

Franchement, Jean-Philippe, j'ai relu le texte ce matin et je le comprends toujours pareil.

Même si Nourissier est passé par là pour la formule de Lhotte, erreur ou pas, le sujet de l'article est bien le signifiant de 'calme'.
Mot qui peut être compris comme impossible à atteindre dans l'équitation de compétition actuelle et qui avec le terme confiance éclaire l'état à atteindre.
Je comprends aussi que le nombre d'exemples négatifs rapportés est pour pouvoir nommer AVG sans être taxé de parti pris et en même temps que le processus était commencé depuis quelques temps.

Pour "les plus grands mécomptes essuyés le furent sur des montures trop calmes..."., je comprends calme dans le sens commun, 'manque d'énergie' et que c'est rappporté au résultat en compétition, pas au cheval !

Mick Hunter
Offline
Joined: 02/05/2006

Mr Michel Henriquet doit présenter ses excuses Général Alexis L'hotte,
pour l'avoir déformé.

http://search.yahoo.com/search?p=general+l%27hotte&fr=yfp-t-501&toggle=1...
http://fr.wikipedia.org/wiki/Alexis_L'Hotte
http://www.google.com/search?hl=fr&q=general+alexis+l%27hotte&meta=

Lui qui n'est ni écuyer de cirque, ni écuyer d'aucune académie équestre,
doit présenter ses excuses à l'Ecole Espagnol de Vienne qu'il a dénigré.
http://www.spanishridingschool.co.uk/

Buridan
Offline
Joined: 17/03/2006

Bonjour,

Pour le reste, si on prend le temps de lire, MH ne fait que relater certaines anecdotes qu'il a rencontrées, qu'il n'approuve ou excuse.

Il me semble que le texte contienne des jugements de valeur plutôt élogieux :

"Les plus grands chevaux de dressage"
"l’excellent Granat"
"magnifique grand prix"
"superbe et impétueux Corlandus"

Plus sérieusement, je crois que l'article est très clair : le calme n'est pas une vertu pour le dressage de haut niveau. A mon avis cette affirmation ne justifie pas cette agitation.

Comme je l'ai écrit sur l'autre sujet de ce forum qui traite de l'article en question, il ne faut pas confondre équitation classique et dressage de compétition. Cette confusion est entretenue par la FEI ("ce qui est classique est ce qui est dans le règlement") et relayée par certains cavaliers de dressage en quête de légitimité.

Dans l'équitation classique le calme vient en premier comme l'a écrit le général L'Hotte, car les chevaux étaient utilisés quotidiennement (sans mentionner leur utilisation guerrière).

Cordialement,
Hervé

Message édité par: Marcantoni, à: 2006/12/27 13:56